Commentaire de texte III 5 L’école des femmes

Commentaire de texte III 5 L’école des femmes

Problématique : En quoi pouvons-nous dire que ce monologue révèle-t-il une crise intérieure du personnage d’Arnolphe ? I – Les sentiments d’Arnolphe. 1) La souffrance. i) Le champ lexical de la souffrance omniprésent. ii) Il donne un aspect tragique à sa tirade. 1) La colère i) Ses invectives lancées à l’encontre d’Horace et d’Agnès. ii) Une colère retournée contre lui-même. 1) La jalousie. i) La jalousie qu’il épr Sni* to View Il – IJn personnage a 1) Un personnage ta i) Il cherche à dissim i) Arnolphe, prit à son propre jeu. ) un personnage qui devient ridicule. i) Des sentiments contradictoires. ii) Des paroles également contradictoires. 1) Un personnage complètement métamorphosé, changé. i) L’évolution de son statut (dominant et confiant à dominer et désespéré). Introduction . L’école des femmes, de Molière jouée pour la première fois en 1 662 est une comédie théâtrale à la fois comique à grand succès.

La scène V de l’acte Ill de l’école des emmes de Molière est un monologue (le monologue est un procédé traditionnel au théâtre, qui permet au personnage d’exprimer ses sentiments) du personnage d’Arnolphe. Tout d’abord, dans un premier te temps, nous étudierons les sentiments d’Arnolphe, cette partie sera développée en trois

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grandes phases, la souffrance qu’il éprouve, sa colère dirigée contre Horace et Agnès et enfin la jalousie qu’il ressent envers Horace.

Ensuite, dans un second et dernier paragraphe, nous verrons les multiples caractères/ ersonnalités d’Arnolphe en détaillant le fait qu’il soit pathétique, ridicule et métamorphosé. Commentaire . Dans ce monologue, Arnolphe éprouve plusieurs sentiments dont trois sont grandement présent. Le premier est la souffrance, ce sentiment est grandement présent dans la scène. Cette souffrance transparait par l’utilisation d’un lexique tragique (lexique de la souffrance pouvant aller jusqu’à la mort) : « Je souffre, peine, déplaisir cuisant, me voilà mort, mon désespoir etc. ?, ce lexique est dans les premiers vers associés ? es phrases exclamatives, qui permettent de donner un effet plus tragique, violent aux mots d’Arnolphe. A la souffrance, s’ajoute la colère (vers 12 à 16) : En effet, nous pouvons voir que le verbe « j’enrage » est répété trois fois au cours de la scène. Cette colère s’exprlme aussl par des répétitions, cela rend le discours de Arnolphe, non-cohérant : Au vers 996-997 « Elle n’a ni parents, ni support, ni richesse ; Elle trahit mes soins, mes bontés, ma tendresse. Il va ensuite étaler PAG » OF d