question, nous verro nous nous intéresser déduirons l’efficacité fable. Commentaire de la fable : «Le Loup et le Chien » de Jean de la Fontaine Premium By Vara113 OkTA6pq 13, 2014 | E pages Commentaire de la fable : «Le Loup et le Chien » Jean de La Fontaine, écrivain et fabuliste du XVIIème siècle, publie son recueil Fables, réunissant de nombreuses fables écrites entre 1668 et 1696. Elles ont pour but de plaire et d’instruire le lecteur.
Dans « Le Loup et le Chien », fable extraite de ce recueil, La Fontaine nous présente un Chien qui tente de convaincre et persuader un Loup, en ayant recours à divers rguments et procédés, de faire comme lui et donc rejoindre son maître. Comment cette fable parvient-elle à instruire le lecteur tout en captant son attention ? Pour ré « pondre à cette Sw p to p age son ivant de la fable puis C n, enfin nous en tic t la leçon à tirer de la Pour plaire au lecteur, la fable est rendue vivante. Alnsl, la fable est organisée comme une pièce de théâtre.
Des lignes 1 à 4, les personnages sont présentés : le Loup « n’ [a] que les os et
La fable est également rendue vlvante par l’humanisation des animaux. En effet, ils possèdent des attraits humains comme le soulignent les adjectifs « puissants » (13) , « beau » (1-3) . De plus, leur comportement est également humanisé. Ainsi, « Le Loup l’aborde humblement », l’humilité étant une caractéristique humaine, le caractère humain du Loup est donc mis en valeur. Par ailleurs, les animaux sont nommes comme s’ils étaient des humains. Le Loup est ainsi qualifié de « beau Sire » ce qui souligne son caractère humain du fait du titre lui étant donné.
Enfin, ces anmaux sont dotés de paroles comme le met en évidence le dialogue des lignes 13 à 41. La faculté de parler étant un attribut que seuls les humains possèdent, ces animaux sont donc bien apparentés à des êtres humains. En rendant le récit vivant, l’auteur plait au lecteur et capte donc son attention. Il peut ainsi mettre en œuvre son second but, celui d’instruire le lecteur. Tout d’abord, le discours du Chien est très structuré. Il commence par donner les raisons pour lesquelles le Loup doit quitter son bois car il y est malheureux.
Cela est montré dans les vers « Quittez les bois vous ferez bien : / Vos pareils y sont malheureux. Cela est montré dans les vers « Quittez les bois vous ferez bien : / Vos pareils y sont misérables Cet argument est d’autant plus mis en valeur grâce à l’opposition au vers récédent : « D’être aussi gras que moi, lui répartit le Chien de par son contenu, gras s’opposant à misérables, mais également par sa longueur, l’alexandrin qualifiant le Chien s’opposant aux octosyllabes caractérisant le Loup.
La deuxième raison données est que le Loup n’a pas de bons repas assurés. En effet cela est suggéré par les vers 18 à 20 : « Dont la condition est de mourir de faim », « rien d’assuré : point de franche lippée », « tout à la pointe de l’épée Cet argument est accentué par la rime entre « épée » et « lippée » qui rend ompte de la correspondance entre le devoir d’aller chasser et le bon repas. Après avoir donné les raisons, le Chien explique au Loup son devoir. Il doit simplement garder la maison de son maître.
Pour convaincre le Loup, le Chien atténue ce devoir et le qualifie de « presque rien ». Enfin, le Chien lui parle de la récompense donnée à ce travail dans les vers 27 à 29. Cette récompense est mise en valeur par le Chien. En effet, d’après lui, le salaire sera « force reliefs » alors qu’ne réalité il ne s’agit que de restes : « os de poulets, os de pigeon Le Chien tente également de persuader e Loup en faisant appel à ses sentime le Loup en faisant appel à ses sentiments.
Ainsi, il sera récompensé de « mainte caresse » Mis à part son discours très structuré, le Chien use également de divers procédés. Il a ainsi recours à des arguments ad hominem. En effet, il utilise la vie du Loup pour l’opposer à la sienne et alors montrer laquelle est la meilleure. Le Chien se sert pour cela de nombreuses antithèses : « misérable » s’oppose ? « meilleur destin ». II utilise également d’autres figures de style comme l’allitération en « r » du vers « Cancres, haires, pauvres iables », « mourir de faim » qui est un son dur et accentue ainsi le malheur du Loup.
En outre, cette allitération permet également de falre correspondre fétat des loups avec leur condition qui est de « mourir de faim D’autres figures de style sont celles de l’hyperbole lorsqu’il parle de la récompense obtenue ou de la litote quand il s’agit du devoir à accomplir. Enfin, le dernier procédé est celui du raisonnement, inductif. En effet, le Chien part d’une observation : « Le Loups n’avait que les os et la peau » (LI) pour en tirer la conclusion que tous ses emblables sont « misérables qu’ils ne mangent pas à leur faim.
Ce raisonnement permet alors au Chien d’appuyer son argumentation et donc mieux convaincre le Loup de le suivre. Ainsi, plusi PAGF d’appuyer son argumentation et donc mieux convaincre le Loup de le suivre. Ainsi, plusieurs procédés ont été mis en œuvre par le Chien pour tenter de convaincre le Loup. Mais cette argumentation a-t- elle été efficace, et quelle leçon tirer de cette fable ? Nous allons tenter de le voir dans cette dernière partie. L’argumentation du Chie, a été efficace puisque le Loup s’est écidé à suivre le Chien.
Cela est redu compte par l’expression « Chemin faisant ». Cette phrase signifie en effet que le Loup a suivi le Chien pour aller chez son maître. Le Loup a donc été convaincu par le discours du Chien. De plus, cela est souligné par les vers « Le Loup déjà se forge un félicité / Qui le fait pleurer de tendresse Ces vers mettent en valeur le caractère convalncu du Loup puisqu’il s’imagine déjà devant un bon repas. En effet, cela est montré par l’emploi du mot « déj? Cependant, un élément va provoquer un retournement de situation.
Ainsi, le Loup voit «le col du Chien pelé Il s’interroge alors sur la provenance de cette trace comme le souligne l’accumulation de questions ; « Qu’est-ce là ? D, Quoi ? Rien ? Le Chie, quant à lui retarde la révélation de la cause et l’atténue par l’emploi d’expressions comme « Rien », « Peu de chose Ce retardement est d’autant plus accentué par l’enjambement : « Le collier dont je suis attaché / De ce que vous plus accentué par l’enjambement : « Le collier dont je suis attaché / De ce que vous voyez est peut-être la cause. ce qui provoque un effet d’attente.
Enfin, même après avoir donné la raison le Chien réfute l’importance de ce fait en déclarant : « qu’importe A cause de cet évènement l’avis du Loup change alors. Il ne veut donner sa liberté pour rien au monde comme l’indique la phrase . « de tous vos repas/ Je ne veux aucune sorte, / Et ne vaudrait pas même à ce prix un trésor. » Cette déclaration du Loup est une morale implicite qui permet de donner une leçon aux lecteurs : il ne faut donner sa liberté pour aucuns trésors. Le Loup a donc décidé de garder sa liberté malgré tout ce qu’on lui propose en ?change.
Cette décislon de garder sa liberté est accentuée par l’hyperbole du dernier vers : « maître Loup s’enfuit, et court encor La Fontaine a donc bien réussit à concilier ses deux buts qui sont de plaire et instruire en proposant une fable pleine de vivacité tout en faisant passer une leçon. La morale de la fable est ici implicite comme d’autres des fables de la Fontaine avec par exemple la fable intitulée : « La Génisse, la Chèvre, et la Brebis, en société avec le Loin » où la morale est que la raison du plus fort est toujours la meilleure.