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Omar 26 Novembre Benabdallah Mercredi Nous allons étudier «Le Ministre » poème écrit par Francis Ponge,cet écrivain avait l’habitude de personnifier des objets dans ces textes,ce qui n’est pas le cas dans ce texte.

Pour démontrer que ce poème relève du surréalisme,nous allons premièrement nous intéressé à la description caricatural du Ministre puis nous verrons que le poèm Sni* to View Ce poème décrit d qu’on le connaît,l’aut un Ministre tel jectif pour montrer que cela est une caricature et qu’il ne cherche en aucun cas ? rendre le Ministre au sérieux : « majestueuse porte cochère » , « fortes semelles mais vernis » .

Il embelli le ministre mais essaye de faire comprendre au lecteur que cela est superficielle et que le Ministre n’est qu’un homme avec « Un habit noir à pans long,de coupe rectiligne » De plus, l’auteur utilise énormément de comparaison descriptive du ministre qui relève du ridicule : « Les phrases du discours qui s’achève,lancées comme des serpentins» « le fait de ressembler à un hanneton » .

On comprend alors que ce texte est omplètement caricatural et attise la moquerie sur le ministre,il critique aussi car une caricature signifie une critique de quelqu’un ou de quelque chose,par exemple

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lorsqu’ l’auteur se m moque des papiers signé par le ministre : « Les signatures processionnent comme des cafards sur les feuillets qui jonchent en désordre une table de mobilier national » où il y a encore une fois une comparaison mals où il insinue que le ministre ne signe que pour signer tellement son bureau grouille de papier.

Enfin, l’auteur joue avec le mot ministre en commençant on poème par : « Qu’une M » et en le faisant rimer avec le mot « SINISTRE » qui nous fait comprendre que c’est une sorte de comparaison,de plus il décris le ministre de façon très précise surtout par rapport à ses habits : « Partant d’en bas,deux pieds chaussés de souliers à fortes semelles mais vernis » en disant que le ministre y fait très attention et ne regarde que cela, « Un habit noir à pans longs,de coupe rectillgne,le fait ressembler à un hanneton Encore une fois,l’auteur cette fois le compare à un animal du à ces habits.

Il rajoute qu’en cas de besoin,le ministre ecevras toujours « quelques applaudissements de mains frénétique » ou que ces discours ne sont que « des panaches de fumée dont le vent forme et défait plusieurs fois les nœuds avant de tout dissiper Pour conclure cette première partie,l’auteur donne son avis sur le ministre à l’aide de comparaison animale ainsi que de moquerie sur le travail du ministre lui même. Tout cela se tournant vers la caricature comp ète du ministre et de son travail au sein de la société. Après avoir démontré que ce poème est critique et qu’il représente une d PAG » OF d