La ville de Cochabamba est très représentative du pays sur le plan des inégalités sociales : au sud, des vastes quartiers pauvres, alors qu’au nord, les quartiers les plus aisés. Depuis plus de 30 ans, la zone pauvre a gagné du terrain avec l’arrivée d’immigrants venus des zones rurales et des montagnes. Malheureusement pour ces populations, les organismes publics ont choisi de s’occuper des classes moyennes et supérieures. pour ce faire, le prix de l’eau a connu une rapide hausse, avec jusqu’à 300 % d’augmentation. Pour les populations pauvres, l’eau devient alors un bien inaccessible. e révolte éclate alors en 2000 à Cochabamba en Bolivie suite à la privatisation de l’eau (=considérer l’eau comme un bien to Wen « ext économique privatis par le gouvernement population de la ville plus grande entrepris Dès le début des ann Swtp next page urce de profit) t de servir toute la onfiée à Bechtel, la Unis ns, des syndicats et des paysans créent une association pour les droits à l’eau et à la vie. Un rapport de force entre la population pauvre et le gouvernement se met en place. Soumis à une très forte pression sociale, le gouvernement bolivien a accepté toutes les reve
