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prétendu scientifique ne relève-t-il pas d’une fausse nécessité dans la mesure où il suffirait d’employer les mots vivants qui existent en surabondance dans le langage courant, mots qui ont fait leurs preuves, couvrent tous les besoins actuels et ont l’avantage d’être connus de tous? AGF 9 rif s langage qui se prétend scientifique n’est-il pas un vulgaire jargon? N’est-ce pas une langue pédante, incompréhensible pour le non initié, qui cherche à faire savant et compliqué de façon totalement artificielle? Dans l’hypothèse où une terminologie savante serait nécessaire, ne suffirait-il pas alors d’emprunter aux disciplines fondamentales consacrées (sciences biologiques, sciences humaines… ) des concepts dotés d’un statut scientifique reconnu de longue date et de les appliquer aux activités physiques et sportives? (P. Parlebas, Lexique commenté en Science de l’Action Motrice, a is, 1981). Pluridisciplinarité pratique. • Les jeux physiques, les jeux traditionnels, (jeux festifs). • Les exercices méthodiques, (éducation corporelle). ?? Les activités physiques « naturelles (pratiques en plein air, hébertisme). • Les sports britanniques, ( compétition choisie). Les sports olympiques, (spectacle). • La pédagogies des conduites motrices, (école). • Les pratiques d’entretien, d’hygiène, (santé) • Les nouveaux sports, (loisirs californiens, de rue, etc. ), TECHNIQUE. Du grec « teckné » : art, faire, fabriquer, construire. – Artisan : production concrète. Artiste : activité plus abstraite. substituent à la force musculaire de l’homme. Vise un accroissement de productivité et fait suite à la technique de l’outil. par extension, tout ensemble de procédés mis en œuvre en tous domaines pour obtenir une amélioration des résultats. 3) echniques corporelles. « J’appelle technique un acte traditionnel efficace Il n’y a pas de technique et pas de transmission, s’il n’y a pas de tradition. C’est en quoi les hommes se distinguent avant tout des animaux : par la transmission de ses techniques et très probablement par leur transmssion orale M MAUSS). – « la technique corporelle correspond à l’ensemble des moyens transmissibles à mettre en œuvre par l’homme pour effectuer le plus efficacement possible une tâche motrice donnée». Vigarello (G) et Vives (J), rev. « Culture Technique no 13, 1985). SCIENCE. – « La science a pour objet les phénomènes naturels et les relations entre les phénomènes, c’est-à dire les lois auxquelles obéissent les processus naturels » (ER. ) – Description et analyse du réel. Production de nouvelles connaissances. La formation du savoir scientifique dépend de la société dans laquelle se ont les découvertes, mais le contenu de ce savoir est neutre : il n’a appartenance nationale ni appartenance de classe ou de groupe.

La loi de Mariotte-Gav-Lussac, q lation entre la pression, le PAGF techniques et des pratiques. – Distinguer les lois auxquelles parviennent les sciences expérimentales (sciences dites dures) et celles auxquelles parviennent les sciences de l’homme et les sciences sociales. (Relativisme plus fort). Sciences de l’homme. – Etude de l’homme : intériorité, sujet conscient d’une histoire et d’un monde dans lesquels se déploie l’univers des choses (objets). Jusqu’au XVIIIè siècle, le savant est le philosophe. La distinction entre philosophie et science n’existe pas.

ROUSSEAU : « quand on veut étudier les hommes, il faut regarder près de soi; mais pour étudier l’homme, il faut apprendre à porter sa vue au loin, il faut d’abord observer les différences pour découvrir les propriétés – L’ethnologie, l’anthropologie, la psychologie sociale, la psychologie, la sociologie vont insister sur le fait que ce qui est déterminant dans la vie des hommes n’est pas ce qu’ils croient ou ce qu’ils pensent mais des systèmes linguistiques, culturels, sociaux dont ‘organisation échappent à leur conscience.

Ces systèmes définissent des rôles suivant l’âge, le sexe ou l’origine des individus. Lhomme n’est plus un sujet mais un ensemble de déterminants inconscients à partir desquels se justifient leur existence. -(Michel FOUCAULT et « la dissolution de l’homme « Les mots et les choses Gallimard, 1966). – (M. CROZIER, E. FRIEDBERG, L’acteur et le système, seuil, 1977). * l’acteur est doué de raison, * dispose d’une marge d’autonomie * porte des valeurs, des p ntentions, * dispose d’une marge d’autonomie, * porte des valeurs, des proiets et des intentions,