Aimé Césaire Introduction Aimé Césaire, poète et homme politique martiniquais, tente d’expliquer, dans son oeuvre, les causes de la contestation grandissante de l’ordre coloniale. Dans un premier temps, nous étudierons la dénonciation de la colonisation, puis dans un second temps, l’apport de la civilisation europeenne. Problématique : En quoi ce texte argumentatif propose-t-il une critique virulente de I pour les colonisateur uc ors colonisés ? PART I IDEE UNE Nous commenceron Sni* to View début nous sommes places dans un plan temporel.
Tout d’abord avec le premier temps verbal, le présent de vérité générale : « Entre colonisateur et colonisé, il n’y a de place que pour la corvée « ( ligne 1 ) qui vient nous donner une vision pessimiste de la colonisation. puis le second, le présent d’énonciation : « je parle d’abus « j’entends la tempête », « ? l’heure où j’écris » qui permet de nous montrer l’implication de l’auteur, qui évoque des faits en cours de déroulement dans l’actualité.
PART I IDEE DEUX , « anéanties « , « supprimées « Par cette gradation, Césaire veut encore démontrer que a colonisation n’est pas l’apport de clvilisation, mais bien de chaos. PART I IDEE TROIS Nous pouvons aussi dire,
Mais Aimé Césaire, s’oppose a la volonté du colonisateur, dans l’anaphore, qul permet de souligner [‘idée « ligne 16/17 il désigne les colonisés par la « « sagesse « , mais le verbe antéposé arrachés « vient riser cette idée, et démontre que malgré tout, les colonisateurs ont pu leur enlever ça.
PART I IDÉE QUATRE Nous continuerons par dire, que en utilisant le terme « équation « « qui sont des valeurs sure, et qui démontre comme vérité générale par « colonisateur = chosification « ( ligne 7 ) , qu’il est bien celui qui transforme en objet, donc qui transforme l’homme colonisé en ‘chose’, à cela vient s’ajouter la métaphore de Vhomme indigène en « instrument de production « ( ligne 6 qui vient appuyer notre idée.
PHRASE D’AMORCE Nous finirons par dire que lorsque Aimé Césaire veut exprimer ses idées, il emploiera le pronom personnel « je « , à fin de se démarquer de la vision des colonisateur qu’il désignera par le pronom i « réalisations « « (l’gne 8) , l’expression « les guillemets sont présentes pour montrer que l’occident n’est pas sincère.
On peut rajouter, que quand Césaire décide de montrer les bienfaits de la colonisations, par exemple à la ligne 8 « » la colonisation a conduit au bonheur des Africains et au progrès, de plus que le taux de mortalité a iminué « maladies guéries « (ligne 8), ou encore a la ligne , « On me parle de tyrans locaux mis à la raison ; mais je constate qu’en général ils font très bon ménage avec les nouveaux et que, de ceux-ci aux anciens et vice-versa, il s’est établi, au détriment des peuples, un circuit de bons services et de complicité. ? démontre que la colonisation a mis fin aux abus et à la tyrannie en Afrique. Mais ces idées seront toujours brisées par la réalité que nous apporte Césaire. Nous continuerons par dire, que comme procédé d’insistance, nous avons l’emphase Moi aussi je parle d’abus » « Moi je parle de milliers d’hommes Moi je pa le d’économies naturelles Ce procédés donne un rythme au texte, de la musicalité.
Nous finirons par dire, qu’a la dernière ligne « On me parle de civilisation, je parle de prolétarisation et de mystification. « donc Césaire, avec l’alternance des voix opposées, lui permet de dévoiler et combattre avec violence la fourberie des colonisateurs. Conclusion : À travers son Discours sur le colonialisme, Césaire nous offre un texte argumentatif, qui nous pro PAGF3C,F3 argumentatif, qui nous prouve que la
