L’éducation, comme une cause… Parce que le sujet impose de revenir au fondement, à l’intime des relations entre parents et enfants, à l’implicite des « affrontements » entre les générations, au carrefour des grands lieux instituants – l’école, la famille, les religions, la ville, voire l’armée… —, Péducation ne peut se contenter d’un simple détour. Elle devient facilement une cause à revendiquer, la figure d’une utopie à dessiner quand la société peine face à son avenir. Et, parfois de manière violente, ne evient•elle pas aussi cause nationale ?
Capable de rassembler et d’opposer, mobilisant tour à tour parents ou enseignants. Mais sans se limiter à récole, placée au premier rang des interrogations, comment faire droit à tout ce qui touche ? la tâche éducative ? II rencontre des acteurs, au carrefour gliger dans cette ors « composition » une De l’expérience des nts, des parents, des cadres associatifs, qu xpression fréquente d’un malaise, ou d’une insatisfaction, les adultes qui concourent ? l’éducation donnent souvent l’impression de peiner à redéfinir leur rôle.
Comme si les chocs successifs que notre société a subis depuis la libération, — la décolonisation, l’aggiornamento des gr Swp to page grandes institutions, et l’envahissement progressif mais très prégnant des médias
Où e passe aujourd’hui l’apprentissage d’une civilité, d’un dialogue, qui est comme la condition nécessaire pour reconnaître la place de l’intérêt général ? L’éducation ne saurait exister en dehors de tout cadre, et une réflexion sur les institutions – en particulier sur l’école et sur la famille – devient plus que nécessaire. Le risque est grand d’exiger de celle-là une solution à tous les maux. Où donc est ce tiers lieu, qui permettralt aux parents et aux enselgnants de collaborer sans s’affronter ?
Comment constituer [‘école comme un espace ui tienne à la fois du public et du privé, et qui ne devienne pas citadelle ? Dans l’enseignement, public et privé, la réflexion devra se poursuivre en lien avec les autres instances, notamment les mouvements de jeunesse – scoutisme, action catholique et mouvements laïcs pour ouvrir des passerelles. Dans un monde ouvert, où les frontières disparaissent, l’espace éducatif résistera à la tentation de se penser comme une contre-société sans pour autant accepter de se diluer. Mais cette ouverture ne se fera qu’au prix d’une réflexion renouvelée sur les fina