Candide, Voltaire – résumés Chapitre 19 : ce qui leur arriva à Surinam, et comment Candide fit connaissance avec Martin Aspect narratif : Candide et Cacambo arrivent à Surinam, une colonie hollandaise en Guyane, plein d’espoirs malgré la perte de presque tous leurs moutons. Après avoir rencontré un esclave allongé par terre, une jambe et un bras manquants, Candide le questionne sur son état. Il apprend alors que cet homme a été mutilé par son maitre pour avoir tenté de s’enfuir.
Ensuite, Candide prend la décision de partir à Venise, m pas Cunégonde, rest valet Cacambo de pa eur reste, et de le re de nombreux regard org n qu’il ne retrouve ande donc à son rtie de l’or qu’il r de Candide attire an argent en se faisant piéger par l’armateur hollandais, sans trouver aucune aide auprès de la justice. Tant de malheurs et de malhonnêteté plonge de nouveau Candide dans une profonde angoisse et un grand désarroi. Aspect argumentatif : Dans ce chapitre, Voltaire fait la satire violente de l’esclavage.
Il décrit de manière authentique et détaillée la cruauté des négociants. Le lecteur peut penser que c’est Voltaire qui s’exprime à travers l’esclave mutilé. C’est pourquoi on peut discerner de l’ironie
C’est pourquoi nous pouvons déduire que cet extrait de Candide participe fortement au combat de Voltaire contre l’intolérance la cruauté et la justice. Chapitre 21 : Candide et Martin approchent des côtes de la France et raisonnent Aspect narratif Pendant leur long trajet en direction de Venise, Candide t Martin discutent beaucoup de la condition humaine. Martin déclare être allé plusieurs fois en France. Il en fait par ailleurs une critique très négative, en particulier de Paris.
Aspect argumentatif • Dans ce chapitre, Voltaire fait une satire très violente des français et des hommes en général à travers les propos de Candide et Martin. Il décrit les hommes comme étant « menteurs, fourbes, perfides, ingrats, brigands, faibles, volages, lâches, envieux, gourmands, ivrognes, avares, ambitieux, sanguinaires, calomniateurs, débauchés, fanatiques, hypocrites et sots. ? Chapitre 22 : ce qui arriva en France à Candide et Martin Pendant leur périple vers Venise, Candide et Martin font escale à Bordeaux.
Ils y restent peu de temps, car Candide décide de visiter Paris, mais fut vite bien déçu : à peine est-il arrivé qu’il fait la rencontre de nombreuses personnes malintentionnées et qu’il tombe malade. Candide assiste à un spectacle et découvre aussi les cercles littéraires. Il est mené chez une dame de qualité pour un repas mondain et Candide fait des infidélités à Cunégonde. Là-bas, Candide découvre que les jeux sont très résents dans la vie des français. uis, il reçoit une lettre de Cunégonde lui apprenant qu’elle présents dans la vie des français. Puis, il reçoit une lettre de Cunégonde lui apprenant qu’elle est très malade et qu’elle le veut à ses côtés. Malheureusement, Candide et Martin se font arrêtés, suspectés d’être des « étrangers suspects » (il s’agit du résultat d’une manipu ation d’un abbé rencontré chez la dame de qualité). Grâce à quelques diamants, ils retrouvent la liberté et décident de continuer leur route vers Venise.
Dans ce chapitre, Voltaire dénonce la société parisienne, ui ne jure que par la médisance, la tricherie et les prejugés. Il critique aussi les œuvres religieuses par l’intermédiaire du roman de l’abbé Gabriel Gauchat (adversaire des philosophes) et du roman de l’abbé Truchet (adversaire de Voltaire). Il qualifie ces œuvres « d’écrits impertinents Y, «d’immensité de détestables livres « d’ennuyeux mortel de « dégout Voltaire fait aussi la dénonciation du clergé, avec des propos brutaux : « Comme il vous dit curieusement ce que tout le monde sait !
Comme il discute pesamment ce qui ne vaut pas la peine d’être remarqué égèrement ! Comme il s’approprie sans esprit l’esprit des autres ! Comme il gâte ce qu’il pille ! Comme il me dégoute ! Il critique aussi les pièces de théâtre, qu’il trouve déplorables et pitoyables. Chapitre 23 : Candide et Martin vont sur les côtes d’Angleterre ; ce qu’ils y voient Après avoir embarqué, Candide et Martin se dirigent vers l’Angleterre.
A leur arrivée à Portsmouth, ils assistent ? l’exécution d’un amiral anglais condamné pour ne pas avoir tué assez d’amiraux français. A cette d’un amiral anglais condamné pour ne pas avoir tué assez d’amiraux français. A cette époque (1758), la France et l’Angleterre « sont en guerre pour quelques arpents de neige au Canada. » Ils décident tous deux de ne pas s’attarder en Angleterre et de continuer leur route vers Venise, effrayés par la violence d’une exécution non justifiée.
A travers ce récit, Voltaire dénonce la violence militaire ainsi que la barbarie des sanctions infligée aux soldats. Il s’agit ici d’une exécution sans justice, sans tribunal. Voltaire fait donc la satire de l’armée, de son fonctionnement, de ses règles et de ses sanctions. L’exécution de cet amiral sert d’exemple aux soldats. Il s’agit en fait de l’amiral John Byng : Vo taire ne put le sauver malgré ses interventions. Chapitre 24 : de Paquette et de frère Giroflée A Venise, Candide fit chercher Cacambo, chargé de retrouver Cunégonde, en vain.
Martin conseilla à Candide, avec son pessimisme habituel, qu’il ne la reverrait jamais et qu’il devait l’oublier. Il pense que Cacambo ne prendrait pas la peine de partir au bout du monde et de la ramener. En observant un couple d’amoureux qui leur paraissaient heureux, ils discutèrent sur le nombre peu élevé d’individus heureux sur Terre, et Martin parie vec lui que même le couple qu’ils considéraient heureux, ne l’était pas. La jeune femme était en réalité Paquette, une ancienne servante de Cunégonde et maitresse de Pangloss.
Elle raconta à Candide ce qu’elle avait vécu après son départ : elle contracta la vérole, se fit soigner, devint la maitresse de son médecin, fut emprison PAGF départ : elle contracta la vérole, se fit soigner, devint la maîtresse de son médecin, fut emprisonnée, et devint prostituée à Venise. Candide reconnut qu’elle paraissait heureuse mais elle ne l’était pas. Il en fut de même pour le frère Giroflée, un abbé qul regrettait de l’être. Candide est content de constater qu’au fur et à mesure de son périple, il retrouve des personnes qu’il croyait disparues à jamais.
Ils voulurent rencontrer un homme qui n’avait jamais été malheureux : le sénateur Pococuranté. A travers ce chapitre, Voltaire crltique la société car il considère que celle-ci ne trouve jamais le bonheur. Il critique aussi la religion chrétienne à travers les propos de l’abbé Giroflée : « La jalousie, la discorde, la rage habitent dans le couvent » ou encore ? quand je rentre le soir dans le monastère, je suis prêt à me casser la tête contre les murs du dortoir, et tous mes confrères sont dans le même cas. ? Chapitre 25 : visite chez le seigneur Pococuranté, noble vénitien Candide et Martin furent accueillis au palais du sénateur Pococuranté. Cet homme leur explique qu’il se lasse des femmes de la ville, qu’il trouve jalouses et orgueilleuses. Il déclare ensuite qu’il les a remplacées par deux belles servantes, mais qu’elles aussi ne lui suffisent plus. Puis il montra son dédain pour les œuvres de Raphaël, pour la musique et ropéra. En entrant dans a bibliothèque, il fit part à Candide de son dégoût pour certains auteurs classiques comme Homère, Virgile ou encore Cicéron.
Il flt ensuite remarquer la pauvreté des pièces de théâtre, l’embrouillement d encore Cicéron. Il fit ensuite remarquer la pauvreté des pièces de théâtre, l’embrouillement des savoirs scientifiques dans les encyclopédies, et la façon dont son jardin a été mis en forme. Lorsque Candide et Martin partirent, Candide nota qu’il devalt être bien heureux de pouvoir avoir tant de connaissances pour critiquer les choses. Martin n’était pas d’accord, et lui expliqua u’en critiquant tout, il n’avait plus de plaisir.
Candide termina sur le fait que seule l’espérance de revoir Cunégonde les rendait le plus heureux des hommes. Dans cet extrait de Candide, Voltaire dénonce encore une fois la société, mais plus précisément les personnes aisées. Il déclare à travers les propos de Martin que le seigneur Pococuranté est dégouté de tous ses biens et qu’il continue de se plaindre alors qu’il a tout ce qu’il veut : de l’argent, un magnifique palais, de très belles femmes dans son lit. D’après Voltaire, ce n’est pas parce qu’on a de l’argent qu’on est heureux.
Chapitre 26 : d’un souper que Candide et Martin firent avec 6 étrangers, et qui ils étaient Alors que Candide et Martin se mettent à table avec 6 étrangers qui fréquentent la même hôtellerie, un homme interpelle Candide : ce dernier se retourne et voit avec surprise le visage de Cacambo, son valet. Celui-ci lui est devenu esclave. Les 6 étrangers sont en fait des rois qui ont perdu leur rang et qui viennent passer le carnaval à Venise. II s’avère que Candide est plus riche que ces monarques. On avertit Candide d’une arrestation immédiate, et il s’enfuit vers le port, toujours accompagné de Ma