Le bonheur est-il inaccessible ? ELEMENTS DE LA QUESTION : Il faut éviter d’organiser le plan sur le mode du : oui-non, et plutôt ici approfondir en quel sens on parle d’inaccessible. 1 . être inaccessible : on pense qu’il s’agit de savoir si l’on peut accéder ou non au bonheur, mais ici il faut plutôt s’interroger sur la négative (in-accessible : il n’est pas possible d’y accéder et cela définirait le bonheur : il est inaccessible. Autrement dit, il ny a de bonheur qu’inaccessible : s’il y a bonheur possible, ‘est dans l’inaccessible : « il est » inaccessible par définition et c’est l’impossible qui le caractérise.
D’où il faut voir 10 que ce qui empêcherait Paccès l’éloigne de nous mais aussi 20 que cet Swipe Lo nexL page éloignement est néc idéal. Et du coup, c’es e or 7 que fon projette qui Sni* to View plus à relier au réel e l’imagination et à la c r ex. comme un ssible, une « image » . Il ne serait donc ins mais au rêve, ? ésirs. Le bonheur c’est ce que tout un chacun d sire et qu’il veut aussi parfois comme quelque chose d’absolu, et même d’irréalisable.
Ce qui
Il serait donc bien accessible dans l’inaccessible mais pris dans le sens de l’idéalisation, avec par exemple le désir de suivre un idéal de vie. La question n’est pas celle d’un droit au bonheur, pour l’individu ou l’homme en général, car l’an ne doit pas confondre la réponse aux besoins et l’aspiration au bien être. L’homme a une existence double, il est matière et esprit, corps et âme. Le désir de l’âme dépasse les besoins du corps. A POURQUOI ACCÉDER ALJ BONHEUR NOUS PARAIT-IL IMPOSSIBLE ?
Les difficultés de l’existence concrète et les différentes formes de ouffrance rendent illusoire toute quête d’un bonheur stable : il n’y aura pas d’accès vu sous cet angle. La fuite dans une existence superficielle peut, en un sens, définir « le bonheur » dans son aspect inaccessible, car il n’y a pas de bonheur stable et durable. Comme tel, il est radicalement inaccessible et c’est la réalité même de l’existence humaine, toujours vouée au changement, qui l’écarte de nous. Quand il est là, on ne le voit même pas : il s’efface ; on remarque qu’il a été présent quand il n’est déjà plus. Rousseau, PAG » rif 7