Jean Paul Sartre Jean-Paul Sartre est né en juin 1905 à Paris. Son père meurt alors qu’il est encore très jeune. Il est issu d’un milieu bourgeois et cultivé (cf. Les Mots, son autobiographie). Il fait ses études à Paris où il rencontre Paul Nizan. En 1924, Sartre intègre l’École normale supérieure et obtient son agrégation de philosophie en 1929. À cette époque, il a déjà rencontré Simone de Beauvoir qui devient sa compagne. Il enseigne la philosophie au Havre. En 1938, il publie La Nausée, roman qui est reçu favorablement par la critique. En 1939, Sartre est mobilisé et, en juin 1940, il est fait prisonnier.
Libéré un peu plus tard, Sa son engagement : il le néant. À la Libérati et quitte l’enseignem un véritable succès. Il to View nextÇEge tre pour exprimer n 1943, L’être et Temps modernes entialisme connaît tuel doit être un homme d’action et que l’engagement est nécessaire : c’est pourquoi, à partir de 1950, il se rapproche du Parti communiste et, pendant la guerre d’Algérie, soutient les indépendantistes du Front de Libération Nationale (FLN) En 1964, il refuse le prix Nobel de littér Swipe to View next page littérature (anticonformisme + refus des honneurs Sartre
Il meurt en avril 1980 à Paris. André Malraux Né le 3 novembre 1901 à Paris, dans une famille modeste, il abandonne tôt ses études, fait deux voyages en Extrême-Orient (1 923, 1925), où, sensibilisé par les injustices qu’il y voit, il écrit au retour deux romans, « Les Conquérants » et « La Condition humaine » (prix Goncourt en 1933). Engagé politiquement, il milite contre le fascisme et le nazisme, participe au Congrès des écrivains soviétiques en 1934, prend part à a guerre d’Espagne qui lui inspire le roman « L’Espoir Mobilisé en 1939, prisonnier, il s’évade.
En 1944, il commande la brigade Alsace-Lorraine qui e battra dans les Vosges, en Alsace et jusqu’à Stuttgart (1945). Ministre de l’Information du général De Gaulle (novembre 1945- janvier 1946), il est délégué à la propagande du RPF (1947 ? 1953). Nommé ministre d’État chargé des Affaires culturelles (1959-1969), il fait preuve d’un grand dynamisme (on lui doit notamment les maisons de la culture, et une politique de rénovation de Paris).
Chantre du gaullisme, il est en tête de la manifestation de soutien à De Gaulle, le 30 mai 1968. Il meurt le 22 novembre 1976. Ses cendres ont été transférées au Panthéon en novembre Il meurt le 22 novembre 1976. Ses cendres ont été transférées au Panthéon en novembre 1996. Sigmund Freud Originaire d’une famille juive de Bohème réfugiée à Vienne, Sigmund Freud montre très tôt des dispositions pour l’étude et lit Shakespeare dès l’âge de huit ans.
Diplômé en 1881 de la faculté de médecine, il s’intéresse tout d’abord à la neurologie. En octobre 1885, il rejoint le professeur Charcot à Paris et profite de ses leçons sur l’hystérie. De retour à Vienne, il travallle avec Josef Breuer sur le cas d’Annah O, supposée hystérique, dont l’étude jette les bases de la psychanalyse, notamment ses liens avec la exualité. La mort de son père en 1896 accélère le processus : Freud met en évidence le principe du refoulement.
En 1897, il commence à travailler sur les rêves qui le conduisent à ses découvertes les plus importantes : l’existence du fantasme et le complexe d’Œdipe. A partir de 1 920, il oppose les principes de vie et de mort qui composent chaque être, défini par le ça, le moi et le surmoi. Chantre de la psychanalyse, il forme des disclples motivés, dont sa propre fille Anna. Atteint d’un cancer, il fuit l’Autriche à la veille de la Seconde Guerre mondiale et meurt ? Londres.