Baudelaire, lettre à Arsène Houssaye accompagnant Le Spleen de Paris. A Arsène Houssaye Mon cher ami, je vous envoie un petit ouvrage dont on ne pour rait pas dire, sans injustlce, qu’il n’a ni queue ni tête, puisque tout, au contraire, y est à la fois tête et queue, alternativement et réciproquement. Considérez, je vous prie, que Iles admirables commodités cette combinaison nous offre à tous, à vous, à moi et au lecteur.
Nous pouvons couper où nous voulons, moi m ure; car Je ne suspen la volonté rétive de c flue. Enlevez une ver et les deux morceau ans peine. Hachezla en pas or2 to View nev:ÇEge crit, le lecteur sa lect d’une Intrigue super aisie se rejoindront s nombreux fragments, et vous verrez que chacun peut exister à pa rt. Dans l’espérance que quelquesuns de ces tronçons seront assez vivants pour vous plair e et vous amuser, j’ose vous édier le serpent tout entier.
J’ai une petite confession à vous faire. C’est en feuilletant, pour la vingtième fois au moins, le fameux Gaspard de la Nuit, d’Aloysius Bertrand (un livre connu de vous, de moi et de quelquesuns de nos amis, n’atil pas tous les droits à être appelé f ameux)