Fernando Cruz IS3 Bac Blanc sur la poésie: Voyages poétiques l) Question sur le corpus (4 points) Ce corpus qui nous a été présenté est composé par quatre poèmes d’époques différentes, entre eux trois en vers et un en prose. D’abord « Heureux qui, comme Ulysse… » écrit par Joachim Du Bellay, un poème en vers écrit au XVIème siècle et un texte appartenant a la Pléiade (contextes de Renaissance).
Deuxièmement dans notre corpus, le poème « Prose du Transsibérien et de la petite Jehanne de France » écrit par Blaise Cendrons en 1 « L’émigrant de Lan r en 191 3, aussi une p je _ corpus on trouve « L’ par Jules Supervielle prose. Après on laume Apollinaire n, à la fin de notre oème écrit en vers Afin d’étudier ces textes, une question nous a été posée, En quoi ces textes sont-ils plus qu’une description de voyages ? Pour étudier ce corpus on commence par le lyrisme présent dans touts ces poèmes. Mais ce lyrisme n’aura pas le sens traditionnel de l’angoisse.
Dans le poème de Du Bellay, on retrouve l’implication de l’auteur lui-même dans son poème exprimant es sentiments (v9, 11 me plaît) et des figures de style
Le lyrisme dans « Road » est représentés aussi par son implication dans le poème v 10, 12, 15 «Je »), ses sentiments (v12 J’aimais) et des figures de style (v8 comme, comparaison). Et dans dernier le poème de Jules Supervielle. Le lyrisme là est visible par son implication dans le poème (v1 2, ont ; il est dans ce voyage), ses émotions (1-10, vocabulaire extrêmement surpris ; vocabulaire des couleurs) et des figures de styles (v1 Métaphore, v2 personnification). Le lyrisme dans le Corpus est toujours présent dans touts les poèmes et d’une manière plutôt monotone.
Donc une fois celui-ci a été relevé, on abordera le thème du voyage Suivant par le voyages réels que vont faire les auteures. Dans ce premier poème on peut reprendre le voyage réel dans les vers 12-13 (Loire, le Tibre, petit Liré, le mont Palatin) avec l’énumération des lieux géographiques. Aussi au v1 la comparaison avec Ulysse, homme qui fait un voyage de dix ans de long. Dans le poème prosaïque de Blaise Cendrars, ce voyages réelle est visible aux v 4 « Moscou, dans la ville des sept gares » et v 13 avec « Le Kremlin » C’est-à-dire une description très précis PAG » OF d