Avant Projet Debut Street Art

Avant Projet Debut Street Art

YOUSSRA OUAKKI Individu et société 387-103 Groupe 13 TRAVAIL AVANT-PROJET (7%) Travail présenté ? SYLVIE MARTIN Sni* to View Département des sciences sociales Collège Montmorency 13 mars 2015 Cette recherche portera sur le Street art. J’ai choisis la soUs- culture du Street art parce que j’ai déjà eu à faire un travail par rapport à ce sujet et cela m’a beaucoup intéressé depuis . L’Art urbain connu sous le nom du Street art est une forme d’art qui se pratique dans la rue ou dans des endroits publics comme son nom nous l’indique.

Elle se manifeste sous plusieurs Philadelphie afin de séduire une jeune fille. Au même moment, un autre jeune garçon du nom de Takl originaire de Grèce, signalait son passage à travers les rues de New York en signant son nom suivi du numéro de sa rue sur les murs. 2 En effet, l’Art urbain est à l’origine de simples signatures qui se sont développées avec le temps, mais cela a commencé bien avant avec les noms creusés dans la pierre par les soldats américains ou les hiéroglyphes égyptiens, sauf que la différence qui distingue une simple signature d’un graffiti est son style de calligraphie.

Dans la sous-culture du Street art

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il n’y a pas de normes a especter c’est un art libre sans limites qui permet au « writers » de s’exprimer. Son but est de faire passer un message tout en rajoutant de la couleur et de la vie aux grandes villes. plusieurs outils peuvent être utilisés pour faire du Street art tel que le pochoir qui consiste à découper toute forme dans un matériel rigide comme le métal ou une planche de bois, puis rajouter de la couleur grâce à une bombonne ou de l’aérosol. Sinon on peut directement utiliser de la couleur sans Futilité du pochoir. La plupart des sanctions rapportées par le Street art sont négatives4. Vu que c’est un art qui enfreint la loi, il peut y avoir de grosses amendes en jeu. Les produits utilisés par les « writers » sont très résistants. pour les enlever, il faut dépen jeu. Les produits utilisés par les « writers » sont très résistants. Pour les enlever, il faut dépenser des sommes d’argent inimaginables. À Paris, par exemple, environ 70 millions de francs ont été dépensés par la régie de transport pour remettre en état tous les wagons et les stations touchés par des graffitis. Les « writers des marginaux, vivent en dehors des normes et ne sont pas bien perçus par l’ensemble de la société, surtout pas ar les autorités judiciaires et politiques qui essayent de les punir en nettoyant les villes afin de les décourager. D’un autre côté beaucoup de gens adorent cet art. Certains « writers » comme Banksy, connue pour son ton moqueur, essayent de relever des défis chaque année en surprenant les passants dans les différentes villes. La plupart des membres de cette sous-culture ont un surnom qui les représente. Il préfère rester incognito et mener deux vies distinctes. 7 Sinon, dans la vie de tous les jours, ils font autant partie de la culture dominante que n’importe quel autre individu parmi nous. Fiches de lecture Source 1 : LEMOINE Stéphanie. L’Art urbain : du graffiti au Street art, France, Gaillmard, 2012. J’al choisi comme source le livre de Stéphanie Lemoine afin de compléter mon avant-projet sur cette sous-culture.

Dans ce livre, l’auteure explique en détail la naissance du Street art, de quelle manière cet art s’est dévelo livre, l’auteure explique en détail la naissance du Street art, de quelle manière cet art s’est développé et comment il a été perçu durant l’histoire par l’ensemble de la société. Elle parle aussi des techniques utilisées dans le Street art soutenu par des images ?poustouflantes. Ily a également une explication de toutes les formes que cet art peut prendre. En bref, Stéphanie Lemoine parle de toutes les composantes culturelles reliées à cette sous-culture et comment celles-ci sont perçues par la culture dominante.

Cette source m’a beaucoup aidé à réaliser mon travail et ? comprendre en tant que personne faisant partie de la culture dominante la vision qu’ont les membres du Street art, mais surtout à comprendre les origines historiques de cet art. Source 2 : Le Street art : Le Street-art, ou art urbain, est un mouvement artistique contemporain page consultée le 13 mars 2015) [En ligne], http://www. le-graffiti. com/dossiers/street-art. html Ce site contient beaucoup de définitions par rapport au Street art comme celle du graffiti, qui permet aux débutants de bien comprendre en quoi consiste cet art.

Sinon on nous explique la mentalité des « writers leur façon de voir l’environnement qui les entoure et leur but caché derrière leurs œuvres. On nous informe également des différentes villes où on peut retrouver des « writers Cette source m’a été beaucoup p PAGF différentes villes où on peut retrouver des « writers Cette ource m’a été beaucoup plus facile à comprendre grâce aux définitions qu’elle propose comme celle du graffiti et le langage famllier utilisé.

J’ai pu y trouver des informations pertinentes telles que les endroits particuliers où on peut retrouver des graffitis. par exemple, les métros, les murs de bâtiments, etc. Source 3 : FONTAINE, Bernard. Graffiti : une histoire en images, canada, Eyrolles 2011, p. 99. Une source remplie de photographies m’a permis de voir à quel point ceux-ci peuvent se diversifier de personne en personne. On nous donne aussi une idée de combien d’argent peuvent valoir es graffitis au gouvernement. Cela m’a donc permis de répondre aux normes des composants de la culture.

J’ai pu voir qu’il y a plus de sanctions négatives que positives et quelles sont imposées par des membres de la culture dominante par exemple comme les policiers Source 4 : New York sur les traces de Banksy, ajoutée le 17 oct. 2013 par France 24, YouTube [En ligne], adresse URL : https://www. youtube. com/watch? v=y1EctbxM FHY Ce reportage de France 4 nous démontre qu’il n’y a pas que des points négatifs au Street art, mais des positifs aussi. Certaines personnes admirent les œuvres faites par de grand « writers » tel ue Banksy.

Ils cherchent à nous impressionner d’année en année et nous intéresser à leu « writers » tel que Banksy. Ils cherchent à nous impressionner d’année en année et nous intéresser à leur culture. Cette source m’a permis de répondre à la question des rapports qu’ont les membres du Street art avec culture dominante. En particulier, au point positif que cette culture rapporte à notre société. Dans le vidéo on peut voir que les gens sont très attirés par ses œuvres au point même d’en prendre des photos. Source 5 : La Presse, vendredi 14 novembre 2014, p. A25

On retrouve dans cette source des informations sur Videntité des membres du Street art et leur socialisation. Comment ils se perçoivent eux-mêmes dans la société et s’ils sont bien intégrer par celle-ci. Grâce à cette source j’ai pu comprendre que les « writers » détiennent une identité double, quand il pratique cet art ils préfèrent rester incognito au lieu de se montrer. Il ne faut pas aussi oublier que c’est un art illégal quand il est pratiqué dans les places publiques c’est donc pour cela qu’ils ne préfèrent pas se montrer. Dans la vie de tous les jours, ils sont comme monsieur et madame tout le monde.