Auteurs et textes Texte 2, Pierre Bourdieu. 1 )Pierre Bourdieu est né en 1930 et il est décédé en 2002, il est considéré comme l’un des sociologues majeurs de la seconde partie du 20éme siécle. parmi les concepts les plus représentatifs du travail bourdieusien, on trouve l’analyse des mécanismes de reproduction des hiérarchies sociales; la théorie de l’action autour de l’habitus en tant que principe d’action chez un agent social. Il s’est également beaucoup intérésse à la violence symbolique qu’il définit lui même « comme un mécanisme premier d’imposition des rapports de domination ».
Tout au long de sa carriére il a été trés productif et de thématique, il s’in ess ensemble, « Sociologi e Sni* to View nextÇEge de France, coll. « Que Éditions de Minuit, c n grand nombre rienne dans son ses universitaires tique, Paris, Les 980 » traitera de la sociologie générale, il s’interessera egalement à la Sociologie de la culture de l’enseignement et des médias, ou encore aux classes sociales à la sociologie politique et économique.
Mais Pierre Bourdieu peut être également considéré comme un intellectuel pluridisciplinaire, en effet certains de ses ouvrages avait une imension philosophique comme « Les sciences sociales et la philosophie paru en 1 983, abordant la fin
Le captal culturel se compose, lui, de trois éléments : les comportements incorporés » que chacun a acquis au cours e sa socialisation (habitus), les biens culturels que chacun peut s’approprier, enfin, les titres scolaires acquis. L’éspace social ordonne et hiérarchise un ensemble de positions qui coexiste en étant distincte. Elles sont définies les unes par raport aux autres, suivant leur voisinage ou leur éloignement mais également d’un point de vue hiérarchique.
Ainsi selon sa position dans l’espace social l’individu est détérminé à rencontrer des personnes qui lui ressemblent et qui possédent un capital economique et culturel semblable au sien. L ‘habitus permet à l’individu de s’intégrer dans un monde ocial qui éxistait avant et qui éxistera aprés lui, il lui permet aussi de le comprendre de son propre point de vue, par le biais de l’empathie ou du moins un sentiment qui s’en rapproche, néanmoins même si cette compréhension est personelle elle reste proche des gens qui lui ressemble, qui appartiennent à la même classe soclale que lui.
Le rôle des socialisations prlmaire (enfance, adolescence) et secondaire (âge adulte) est très important dans la structuration de l’habitus_ par le biais de cette acquisition commune de capital social, les individus de mêmes lasses peuvent ainsi voir leurs comportements, leurs goûts et leurs styles de vie » se rapprocher jusqu’à créer un habitus de classe. La socialisation étant différente pour chaque catégorie sociale, l’individ un habitus de classe. La socialisation étant différente pour chaque catégorie sociale, l’individu recevra une socialisation personallsé qui le conduira à reproduire les hiérarchies sociales.
Les habitus influent tous les domaines de la vie du travail à la culture en passant par l’éducation ou la consommation. 3)La « position sociale » influt diréctement sur la « disposition ociale » ou les habitus, l’origine sociale définit le mode de consommation, les titres scalaires ou même les hobbies. En ayant acquis ou pas une certainne richesse culturelle, certains choix ou « prises de position » s’offrent à l’individu. Par exemple les « professeurs supérieur » ont un capital culturel plus élevé que les « patrons de commerce » qui eux ont un capital économique plus fort.
Selon leur position leur habitus différer ce qui montre que la « position sociale » engendre certainnes « disposition sociales » engendrées par la corrélation entre capital culturel et économique. Ainsi on peut analyserquels choix font les agents sociaux. 4)L’habitus permet de rassembler ceux qui se ressemblent. Influencés par une éducation et/ou une origine sociale, les agents sociaux ont des styles de vies qui sont similaires et donnent ainsi l’impression de voir éxister une classe sociale.
L habitus permet de créer des liens plus facilement, avoir fréquenté la même université, jouer du même instrument, écouter la même musique ou encore pratiquer le même sport, la liste n’est pas exhaustive. Si l’habitus marche par opposition pour différencier les différentes atégories sociales, il est dans une logique d’imbrication pour unifier les membres issus d’une même categorie ou d’une ca est dans une logique d’imbrication pour unifier les membres issus d’une même categorie ou d’une catégorie relativement proche. )Les habltus sont souvent propre à une situation sociale, si ils permettent de les unifier ils permettent également de les différencier. Dans le schéma de Bourdieu les échecs ou le piano sont plus proches de la catégorie sociale des « professeurs supérieurs », ce sont des pratiques considérées comme intellectuel, alors que l »équitation ou le champagnequi sont des iens couteux se rapprochent des « patrons », ainsi ces catégories se différencient entre elles de maniére horizontale par des habitus liés au capital qu’elles possédent le plus.
Ces distinctions opérent également de maniére verticale, les « patrons » ayant un capital économique plus important que les « techniciens » et les « professeurs supérieur » un capital culturel plus important que les « instituteurs ». Comme le dit Bourdieu les habitus délimitent les catégories en pointillé, leur permettant de se reconnaitre et donc de se différencier. 6)La position sociale a une grande influence sur le goût. Dans le schéma de Bourdieu le classement des « catégories sociales’ est paralléle à celui des habitus.
Le gout est sociale car il est détérminé par la position que l’on occupe dans l’espace sociale. Les pratiques ou les biens les moins couteux sont « résérvés’i aux catégories qui possédent le capital global le plus faible, alors qu’au contraire ceux qui possédent le capital global le plus élevé ont l’ensembles des pratiques les plus « préstigieuses ». Ainsi on peut dire que le goût est socialement définit. 6bis)Pour lui ce mode de pensée contraint à considérer PAGF