Arguments Contre Viande

Arguments Contre Viande

Viande coute cher- en consommer moins Prend beaucoup de viande pour nourrir tous les humaine et encore plus dans les generation futur= QUESTIONS DE L’ENVIRONNEMENT? Ils dit que nous devront diminuer la quantité de viande consomme Banir completement la viande Ancetre qui se nourrissent, viande qui a amenné le cerveau à se développer avec les generations- evolution Viande animal bien traité sans hormones* acceptable, on ne laisse pas de coté le décile d’une bonne viande tendre pour des poid chiches! or 8 Sni* to View 2.

La viande heureuse : tin d’un mythe Vous êtes opposé(e) à la cruauté exercée sur les animaux, mais ous ne voyez pas d’inconvénient à ce que des animaux bien traités et tués sans souffrance puissent être élevés et abattus pour la consommation ? Diagnostic : vous êtes atteint par le mythe de la viande heureuse. En vérité, il n’y a pas de vache soulagée d’être séparée de son veau, pas de cochon castré à vif sans douleur, pas de poussin volontaire pour passer à la broyeuse dans les couvoirs, pas de mort douce dans les abattoirs. L’agriculture biologique, ultra-minoritaire, n’exempte pas les animaux de ces pratiques brutales. ‘y aura pas suffisamment d’eau disponible sur nos terres

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gricoles pour produire de la nourriture pour une popu ation qui devrait atteindre neuf milliards d’habitants en 2050, si nous suivons les tendances alimentaires actuelles dans les pays occidentaux.  » D’après les scientifiques, une alimentation riche en viande utiliserait dix fois plus d’eau qu’un régime végétarien, du fait des quantités d’aliments mobilisées pour nourrir les animaux des élevages. En 2050, volontaires ou pas, nous n’aurons pas d’autre choix que d’abandonner les produits carnés. prenez de l’avance ! Le sort des humains, des animaux et de la planète n’attend pas.

De son côté, l’industrie de la viande vante son produit à grand renfort de promesses de santé : ce serait un aliment sain et indispensable à notre équilibre alimentaire. Or, des études prouvent que trop de viande rouge peut non seulement nuire à la santé, mais même raccourcir l’espérance de vie. Quant aux viandes blanches, elles sont elles aussi problématiques, puisque poules et dindes sont trop souvent traitées aux antibiotiques. Les parcs d’engraissement modernes sont devenus des entreprises high tech, dans lesquelles on oublie totalement que les animaux sont des êtres vivants, et non de simples produits. tp://www. arte. tv/fr/l-adieu-au-steak/6449602. html « Cintervention publique est nécessaire pour atténuer l’impact de l’élevage sur l’environnement et s’assurer que ce secteur fournit une contribution durable ? limentaire et à la réduction réduction de la pauvreté. La production animale, comme toute autre activité économique, peut être associée à des dommages environnementaux. Le manque de clarté des droits de propriété et d’accès aux ressources et l’absence de bonne gouvernance du secteur contribuent à l’épuisement et à la dégradation des terres, de l’eau et de la biodiversité précise-t-elle.

L’organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) explique dans son rapport 2009 La viande rouge mauvaise pour la santé Une nouvelle étude pointe à nouveau du doigt les viandes rouges. Cette fois c’est l’école de nutrition de Harvard, la plus grande unité de recherche au monde, qui publie les résultats d’une étude de vaste ampleur. Les chercheurs ont recueilli les informations de deux études importantes ayant portées sur 37 698 hommes et 83 644 femmes suivis pendant une durée de 22 à 28 ans respectivement.

En compilant les données sur les habitudes alimentaires et l’état de anté les chercheurs constatent que consommer • Une portion quotidienne de viande rouge est associée à un risque de mortalité augmenté de 13% Une portion quotidienne de charcuterie est associée à un risque de mortalité augmenté de 20% La mortalité cardiovasculaire est augmentée de 18 et 21% et la mortalité par cancer est augmentée de 10 et pour la consommation de viande rouge et de charcuterie, respectivement.

Le lien statistique mis en évidence par les chercheurs est robuste et tient compte des facteurs confondants, c’est-à-dire que la mortalité est augmentée même en tenant compte des différences d’â e de aids, d’activi ue la mortalité est augmentée même en tenant compte des différences d’âge, de poids, d’activité physique et d’état de santé qui peuvent exister entre les différentes personnes.

Les chercheurs constatent également que changer ses sources de protéines serait protecteur : la mortalité diminue de 7% en choisissant du poisson, pour la volaille, pour les oléagineux, pour les légumes, pour les produits laitiers ? O%et 14% pour les céréales complètes. Selon eux, la diminution de la consommation de viande rouge aurait pu sauver la vie ? des hommes et à 7,6% des femmes au terme de l’étude.

Le Dr Franck Hu, un des chercheurs à l’origine de l’étude, déclare : « Cette étude amène une preuve claire que la consommation régulière de viande rouge et en particulier de charcuterie, contribue significativement à une mortalité prématuré. D’un autre côté, faire de meilleurs choix pour ses sources de protéines en lieu et place de la viande rouge peut amener un bénéfice significatif pour la santé en réduisant les maladies chroniques et la mortalité. Dans un article accompagnant l’étude, le Dr Dean Ornish, un chercheur végétarien et ex-médecin de Bill Clinton, connu pour romouvoir et avoir montré l’importance de la prévention et du mode de vie dans la lutte contre les maladies chroniques Il explique que l’élevage des animaux dans le monde produit plus de gaz à effet de serre que tous les moyens de transports humains réunis mesurés en « équivalent de dioxyde de carbone » (18% pour l’élevage contre pour les moyens de transports).

L’élevage industriel serait également responsable de PAGF contre 13% pour les moyens de transports). L’élevage industriel serait également responsable de 37% des émissions de méthane, un gaz 23 fois plus toxique pour la couche d’ozone que le dioxyde e carbone et produirait jusqu’à de tout l’oxyde nitrique produit par l’homme, un gaz qui réchaufferait la planète 296 fois plus que la dioxyde de carbone.

A cela s’ajoute le fait que l’ensemble des cheptels utiliseraient de la surface du globe, contribuant à la déforestation lorsque les animaux vont en pâture. Dean Ornish s’attaque ensuite au bilan énergétique. II expose les chiffres, références à l’appui : 40% des céréales cultivées ? travers le monde partent à l’élevage animal. La production de 1 kg de viande de bœuf nécessitera 13 kg de céréales et 30 kg de fourrage.

Cette quantité de céréales et de fourrage aura eu besoin de 43 000 litres d’eau pour arriver jusqu’aux animaux. Il conclut en déclarant : « Dans une époque où 20% des citoyens Américains vont se coucher en ayant faim chaque nuit et où presque de la population mondiale est sous-nourrie, choisir de manger plus de produits végétaux et moins de viande rouge est meilleur pour chacun d’entre nous – nous-mêmes, ceux que nous aimons et notre planète. ‘ Il y aurait plus de 56 milliards d’animaux d’élevage à travers le monde.

J’al entendu parler de Stevan Harnad pour la première fois ‘hiver dernier alors qu’il signait un plaidoyer pour le végétalisme dans la revue Québec Humaniste. Le chercheur, qui est titulaire de la Chaire de recherche du Canada en sciences cognitives ? l’UQAM, y faisait une observation troublante : p recherche du Canada en sciences cognitives à l’UQAM, y faisait une observation troublante : presque tous les humains se portent exactement comme des psychopathes en exploitant les animaux.

On sait en effet que les psychopathes ne sont pas troublés par la misère d’autrui. Pour atteindre leurs buts, ils n’hésitent pas à faire souffrir les autres. Puisque manger de la iande n’est pas nécessaire (Harnad, végétarien depuis cinquante ans et devenu végétalien il y a quelques années, en est la preuve vivante), il concluait simplement son article en affirmant son refus de faire souffrir des animaux pour son plaisir gustatif. Il n’est pas carnivore parce qu’il n’est pas psychopathe. ? SI vous mangez de la viande, ce n’est certes pas parce que la viande est nécessaire pour votre survie, ni pour votre santé : c’est pour atteindre un but qui est à votre goût, peu importe la misère gratuite induite à d’autres êtres vivants, souffrants. » La question du nombre d’animaux tués revient d’ailleurs onstamment dans le discours du professeur Harnad. Ses présentations contiennent toutes le kill counter, où le nombre d’animaux tués défile sous nos yeux.

Il ne manque pas non plus de rappeler que la croissance de la popu ation humaine est exponentielle, que la quantité absolue de mal que fon inflige aux autres humains, comme aux autres animaux, augmente sans cesse. La quantité de souffrance sur Terre est supérieure à ce qu’elle a jamais été. « On fabrique pour plaire à nos goûts des quantités faramineuses d’êtres souffrants. Beaucoup plus que jamais. Ce taux de croissance excède le taux de croissance de n