Approuvez-vous du choix de Jean-Louis Bérard dans « Les larmes de Saint-Gervais » de Corinne Jacquet ? Dans l’œuvre fictive écrite par Corinne Jacquet, le bijoutier de Saint-Gervais, Jean-Louis Bérard, a de gros problèmes. Il sait qu’il a une maladie grave et qu’il n’a plus que quelques semaines a vivre. En plus, son premier enfant qu’ils viennent d’avoir avec sa femme Esther, meurt deux jours après sa naissance. Aussi, Jean-Louis a to nextÇEge Swipe page découvert que sa fe frère Paul Bérard. Le out or4 volontaire en la dégu nt personnes qui l’ont b ngtemps avec son ent planifié sa mort nt directement las her et Paul.
Est-ce que Jean-Louis a eu véritablement le choix ou est-ce que son acte est un geste désespéré qui l’a poussé à terminer ainsi avec sa vie ? A mon avis, Jean-Louis a eu suffisamment de bonnes raisons d’agir comme il l’a fait. L’une des raisons principales est qu’il a voulu se venger de sa femme et de son frère qui l’ont tout deux trahi. La tromperie est une des plus grandes humiliations qu’un mari ou une femm femme peut commettre et encore pire quand c’est fait avec un membre de famille. Dans le roman de
Il a voulu les punir et les culpabiliser avec sa mise en scène de meurtre en les rendant principaux suspects tous les deux. Je pense que Jean-Louis, sachant que ses jours étaient comptés à cause de sa maladie, a voulu choisir la façon de mourir qui lui convenait. Beaucoup de gens parlent, lorsqu’ils sont atteints d’une maladie incurable, de vouloir finir leur vie plus rapidement afin de ne pas souffrir et ne pas avoir de plus en plus de peine à faire des hoses. Lorsque Jean-Louis a décidé de se suicider et a organisé la mise en scène de son propre meurtre ça l’a aidé à mieux supporter la tristesse et la souffrance qu’il vivait.
Pour la plupart des humains, quand ils commencent quelque chose, ils veulent le finir et spécialement si c’est quelque chose d’aussi important. Cest comme un objectif, un but, une raison de continuer à se battre. Quand Jean-Louis a commencé à penser à se suicider, il n’a plus pu sortir ses mauvaises idées de la tête jusqu’? accomplir le geste de non-retour en s’injectant d PAG » OF d ortir ses mauvaises idées de la tête jusqu’à accomplir le geste de non-retour en s’injectant de la morphine.
Mais d un autre côté, je désapprouve le choix de Jean-Louis de décider du sort de sa mort car son geste a des conséquences négatives pour ceux qui restent. Il aurait peut-être pu faire beaucoup de choses avec sa vie avant sa mort, ne pas y aller si vite. Premièrement il aurait pu divorcer avec sa femme. Cela l’aurait soulagé et donné l’effet de partir en paix avec lui-même. Toute religion le dit : les livres sacrés disent qu’il faut partir en aix avec soi même, de se repentir des mauvaises choses que vous avez fait dans la vie, de pardonner à ceux qui vous ont fait du mal et d’aller se coucher avec le cœur plein.
De plus, ça à avoir avec sa moralité, comment est-ce qu’un être humain peut ne pas dire aux gens les plus proches de lui qu’il va mourir? Deuxièmement, Il aurait pu vivre ses derniers jours pleinement et accomplir tout ce qu’il a toujours rêvé de faire pendant sa vie. Jean-Louis aurait pu prendre tout son argent et le dépenser car il ne voulait pas que sa femme et son frère l’héritent. Troisièmement, il n’avait pas que des malheurs et de la souffrance dans sa vie. l’héritent. ouffrance dans sa vie. Il avait une maitresse qui l’aimait et réciproquement. C’était une raison suffisamment valable pour rester en vie même si c’est que pour quelques semaines. Personne ne vit que pour soi-même. Il y a toujours quelqu’un qui vous ‘aime et qui ne veut pas que vous partez. Cela est une seule raison même petite qui peut laisser quelqu’un dans le désir de vivre et de se battre… l’amour. Tout suicide est dlfficile à comprendre et à accepter pour les gens qui restent.
Même si Jean-Louis Bérard avait de bonnes raisons d’en finir rapidement avec ses problèmes telles que sa propre femme qui le trompait avec son frère, il y avait sûrement d’autres moyens de résoudre ses difficultés. Combien de gens dans notre société vivent de gros problèmes mais ils font face et essaient de vivre malgré tout. Cest une forme de lâcheté, de manque de courage que d’écourter sa vie comme ça. Même si Jean-Louis avait, selon son médecin, seulement quelques semaines à vivre, ne dit-on pas que tant qu’il y a de la VIe il y a de l’espoir…?