Thème 5: Mondialisation, finance internationale et intégration européenne Chapitre 2 : Quelle est la place de l’Union Européenne dans l’économie globale ? plan : l- Comment peut-on justifier la construction européenne ? ll- Quel est le poids de l’Union Européenne dans l’économie mondiale ? Ill Quelles sont les difficultés auxquelles est confrontée l’Union Européenne ? Sujets possibles or 5 Notions au program acquis de première 0 Raisonnement ou d Intégration, LJnion Quelle est l’importance actuelle de l’Union économique et monétaire économique et monétaire, européenne dans le contexte monétaire et financier nternational ?
Monnaie unique, Euro, Quel est le poids de l’Union Européenne dans l’économie mondiale ? Protectionnisme Quelles sont les difficultés auxquelles est confrontée l’Union Quels sont les défis actuels et futurs auxquelles l’Union Européenne devra répondre ? Quel est l’intérêt et le poids de l’Union économique et monétaire macroéconomiques des Etats membres ? Pourquoi les états membres de l’UEM ont-ils décidé d’intégrer leurs économies ?
Dans le cadre d’une gouvernance mondiale, comment [‘Europe appréhende-t-elle les questions environnementales et de régulation financière En quoi consiste le Pacte de Stabilité et de Croissance ? Présentez intérêts et les limites. Expliquez le triangle des incompatibilités de Mundell. Quels sont les critères d’une zone économique optimale
Gain l’échange, allocation optimale des ressources, gans de productivité, Déséquilibres macroéconomiques, politique conjoncturelle, politique budgétaire, monétaire, demande globale, rêteur tarifaires. marché commun : réglementation commune pour la libre- circulation des hommes et des capitaux, ouverture des marchés nationaux. union économique : harmonisation des politiques economlques. union économique et monétaire : monnaie commune – L’intégration économique et monétaire impose des choix quant à la nature des politiques économiques menées, cela est représenté par le triangle d’incompatibilité de Mundell. Mundell a aussi théorisé ce que dot avoir une zone monétaire pour que son efficacité soit optimale * mobilité des facteurs de production au sein de la zone, degré d’ouverture identique des économies nationales, *intégration financière, *politiques structurelles ressemblantes : fiscalité, partage des revenus, législation du travail… En Europe, la libre circulation du facteur travail est limitée par les barrières de la langue et les politiques structurelles sont divergentes. L’Union Européenne n’est donc pas totalement une zone monétaire optimale. L’intégration européenne a renforcé le poids de l’Europe dans l’économie mondiale par l’importance de son commerce intrazone et grâce à PEuro qui limite l’incertitude et a favorisé les échanges. La monnaie unique concurrence même le dollar en tant qu’intermédiaire des échanges et réserve de valeur. erne la question – L’Europe est un moteur e difficulté de l’UE est la coordination des politiques économiques des Etats : La politique monétaire indépendante menée par la BCE est une polltique d’austérité, cela ne lalssant aux pays que le choix de leur politique budgétaire.
Ainsi la Policy mix (alliance des différentes politiques monétaire et budgétaire, de relance ou d’austérité), potentielle des pays repose sur leu politique budgétaire. Le Pacte de Stabilité et de Croissance limite es politiques budgétaires de relance pour éviter que certains pays agissent en passager clandestin (s’endetter ans en payer totalement le prix et le faire porter à la zone, profiter d’une politique des autres pays sans avoir à en payer le prix). s économies des pays sont interdépendantes mais elles sont aussi divergentes au sein de la zone : (taux d’intérêt réel, inflation, chômage, déficit public, dette publique… ) – Ces divergences rendent la politique monétaire unique procyclique, elles renforcent le cycle conjoncturel dans les pays en situation de croissance est forte et es taux d’intérêt bas et inversement la politique monétaire unique a des effets récessifs sur les économies peu inflationnistes.
Pour faire face à ce manque de coopération, des moyens formels ont été mis en place notamment le PSC, mais ses effets restent desincitatifs pour les politiques de relance. Ainsi des politiques discrétionnaires devraient être mises en place, c’est-à-dire qu’en fonction de la conjoncture et après concertation de tous les états membres, il devrait exister la possibilité de choisir des politiques adéquates, même si elles ne ré ondent pas à la logique formelle mise en place.