Analyse Pre Paratoire Au Compte Rendu

une lenteur précieuse, une lenteur qui permet de regarder vraiment le onde, les champs, les forêts, les rivières, et de parler avec ceux que fon croise, d’entendre leurs VOIX, d’échanger des nouvelles. p. 108) » On peut sentir la nostalgie qu’il y a dans sa voix. Il est évident qu’il s’ennui de son pays natal. – Un autre élément qui démontre la présence du thème de la nostalgie est la chanson que le grand-père de Sang diû lui chante. Cette chanson représente beaucoup pour son peuple. C’est une chanson qui date de très longtemps. Les femmes chantent cette chanson à toutes les petites filles qui viennent au monde. « ots de la chanson se jouent du temps, du lieu et de l’âge.

Grâce à eux, il est facile de revenir où l’on est né, où l’on à vécu, dans la maison de bambou au sol à clairevoie, tout imprégnée de l’odeur des feux sur lesquels on cuit le repas tandis que la pluie égoutte sur le toit de feuilles son pelage clair et liquide. (p-38-39) » La pauvreté : – Dès le début, on comprend que Monsieur n’est pas un homme riche. Il qultte son pays natal avec presque rien. « Une sangle entoure la valise afin qu’elle ne puisse pas s’ouvrir, comme si à l’intérieur se trouvaient des biens précieux.

En vérité, elle ne contient que des vêtements usagés, une photographie que la lumière du soleil a presque entièrement effacée, et un sac de toile dans lequel le vieil homme a glissé une poignée de terre. C’est là tout ce PAG » OF d sac de toile dans lequel le vieil homme a glissé une poignée de terre. C’est là tout ce qu’il a pu emporter. Et l’enfant bien sûr. (p. 10) » – Un autre élément qui démontre que, pas seulement Monsieur Linh, mais la majorité de son pays n’était pas riche est lorsqu’il parle de son village. ? Toutes ces femmes, tous ces hommes, Monsieur Linh n’en a jamais vu autant. Il y avait si peu d’habitants au village. Parfois, bien sûr, il allait au marché de la petite ville du district, mais là encore il connaissait tout le monde. Les paysans qui venaient y vendre leurs marchandises, ou bien en acheter, vivaient dans d’autres villages pareils au sien, entre rizières et forêts, sur le flanc des montagnes dont on ne voyait que rarement les sommets car ils étaient souvent empanachés de brume. (p. 3S-36)» Étude de la forme 1.

Le vocabulaire : Dans ce roman, l’auteur a somme toute choisi des mots plutôt imple, ce qui facilite la compréhension de l’histoire. Ainsi, nous n’avons pas besoin de chercher presque chaque mot dans le dictionnaire pour en connaitre la signification, ce qui permet une lecture plus compréhensible. 2. Syntaxe : La majeure partie du temp PAGF3CFd lise des phrases courtes Même si le texte comporte plusieurs retours en arrière et plusieurs descriptions, il est facile de comprendre car les phrases sont courtes et vont droites au but.

Exemple d’un séquence de phrase courte dans le texte : « Monsieur Linh regarde sa petite ille. Elle ne s’est pas réveillée. Elle ne s’est aperçue de rien. (p. 37) » 3. Les figures de styles : Dans le roman, la figure de style que l’auteur utilise le plus est la comparaison. Elle est très présente tout au long du roman ce qui nous permet aussi de faire des liens entre certaines idées. Aussi, pour certaine personne, cela peut permet de voir les choses dune autre manière ce qui facilite la compréhension. Exemple de comparaison dans le texte : « Le cœUr semble comprendre. Il s’apaise.

Cest comme un chien qui se coucherait e nouveau devant le seuil de la maison après avoir aboyé de peur en entendant le tonnerre et l’orage. (p. 37) » 4. Les niveaux de langue : Le niveau de langue qui ressort le plus dans le roman de La petite fille de Monsieur Linh est le niveau de langue neutre. Ainsi, le vouvoiement est utilisé et le vocabulaire est plutôt varié. Exemple dans le roman : « Oncle, vous ne pourrez pas toujours rester ici dans le dortoir. (p. 56) » Le fait que ce style de langue soit utilisé ajoute de la vraisemblance au récit car ce niveau de langue est le niveau stand de la langue française.