Biographie Arthur Rimbaud est née le 20 octobre 1 854 à Charleville où il accomplie une brillante scolarité. Dès l’âge de 15 ans, il commence à écrire des poemes qu’il montre à ses professeurs ou publie dans de petites revues. En 1870, il fugue à plusieurs reprises pour se rendre à paris et rencontrer des poètes. ‘année suivante, il est invité par Verlaine qu’il rejoint dans la capitale française, où ils nouent des relations intimes, puis en Belgique et en Angleterre. Suite à une dispute Verlaine tire sur Rimbaud.
Après cette mésaventure, il rentre en France en 1874 et abandonne brutalement la poésie pour voyager en Europe. Il finit par s’embarquer pou Iquant darmes. Les difficultés financières ent, pendant qu’en org France ses poèmes c m. – tc vieu rié en France et Atteint par une turne meurt à l’hôpital St Je Bibliographie Le bateau ivre 1871 Ma Bohème et Le dormeur du val (recueil : Poésies) 1872 Illuminations et Une saison en enfer (2 recueil de poèmes en prose) Courant Arthur Rimbaud fait partit du courant du symbolisme.
Le ymbolisme est avant tout un courant de pensée, reposant sur la conviction que le monde réel n’est fait que d’apparence et qu’il existe
Autel : Table destinée à la réception des offrandes et à la célébration des sacrifices Encens : Résine aromatique d’Ethiopie et d’Arabie Hosannah : Acclamation de la liturgie juive voulant dire « sauve- nous, je t’en prie » Analyse Globale Le Mal est un sonnet classique composé de 2 quatrains et de 2 tercets. Les vers sont en Alexandrin. Les rimes sont suffisantes (mitraille- raille/fumant-saintement Id am assées-ramassées/noir-mouchoir) t aussi pauvre (bleu-feu/broie-joie/d’or-s’endort) Les rimes (mitraille-raille /broie-joie/damassées-ramassées) sont féminine Les rimes des 2 quatrains sont crolsées.
Analyse détaillée Allitération en « r « f », qui reproduisent des sonorités agressives Champ lexical de la guerre : mitraille, bataillon, feu, cent milliers d’hommes Métaphore : « les crachats rouges de la mitraille » symbolisent les coups de feu Métaphore filée : aux vers 4 et 6 qui comparent le champ de bataille a un brasier + Déshumanisation des hommes (tas fumant, ataillon en masse) ils perdent leur individualité.
Champ lexical de la nature : le ciel l’été, l’herbe Déification : au ver 8 la nat lée, on voit que Rimbaud 3 allitération en « s » ce qui marque la douceur Parallélisme : vers 3 et 9 (Roi qui les raille et Dieu qui rit), ces 2 puissances sont totalement indifférente à ce qui ce passe sur le champ de bataille Champs lexical de l’église : Dieu, autels, encens, calice, hosannah* champs lexical de la luxure : nappes damassées, encens, calice d’or Opposition : d’un côté nous avons l’insouciance et l’amusement e Dieu et du Roi auquel s’opposent la tristesse et l’inquiétude des mères (angoisse, pleurant) Le dernier vers dénonce la cupidité de Dieu qui se réveille lorsque les mères lui offres un gros sou.
Tout au long du poème, champ lexical des couleurs, souvent en opposition : bleu et vert= nature vs rouge = violence, le sang et l’or= la luxure de l’église vs le noir = le deuil et la misère Tonalité La tonalité est très clairement pathétique en effet Pauteur fait naitre un sentiment de pitié pour les soldats et de compassions our leurs mères par leur posture (ramassées), leur pauvreté (un vieux bonnet, un gros sou), leur sentiments (angoisse), leur peine (pleurant, mouchoirs) et le deuil (noir) Conclusion Dans ce poème Arthur Rimbaud laisse éclater sa révolte contre la guerre et la religion. En effet il a connu les ravages de la guerre et sa violence (guerre franco-prussienne de 1870). Il s’en prend donc ouvertement aux grandes puissances qui selon lui sont responsable de du mal c’est-à-dire Dieu et le Roi. Pour lui la seule véritable puissance est la nature qu’il considère comme un idéal