Lecture analytique 4 Excipit du roman L’Etranger, De CAMUS P 182-184 Passage : – à mettre en parallèle avec l’incipit du roman pour voir la transformation du personnage narrateur = Meursault ) -montre M en prison mais contrairement au passage précédent où il était en proie avec la colère il est apaisé et calme.
Après avoir vu l’aumônier sortir, M retrouve la paix de l’univers, se livre à une réflexion sur la mort + l’absurde lucide et revendiqué qu débouche sur le bon Passage composé en L-1 à 12-> « à Jamais Retour au calme d L-13 à 23 -> « de pleu mo PACE 1 ors o View biose avec la nature souvenir de sa mère L 23 à la fin bilan de sa propre vie Pronom personnel utilisé « lui » Paumônier, il crée une mise ? distance du personnage idée d’apaisement après la grande colère qui s’était emparée de lui, termes très forts utilisés « épuisé « jeté » renvoient à la violence de cette colère fatigue physique + morale profond désir de repos exprimé ici Verbe « croire » montre perte de la notion du temps + de la réalité > « je crois que j’ai dormi »
ex. M. vit en communicato avec l’univers cosmique + les étoiles qui éhiculent une co connotation de guide, de vérité matérialisation de ces éléments lointains Inaccessibles com pour montrer que M. peut prouver sa vérité qu’en lui-même M. > à l’écoute de la nuit tous les sens éveillés + audition mise en avant – puis sensation olfactive « des odeurs » indifférenciées, ont des précisions par les compléments de nom de terre b, « de nuit Y, « de sel » La nature est pr la nuit la totalité ) un réconfort pour lui (physique + morale) idée de fraîcheur « rafraîchissais » « comme une marée » « sel » « nuit » / raicheur et apaisement / à chaleur aux agressions du soleil durant l’enterrement M atteint un état d’équilibre parfait avec l’univers cosmique (registre lyrique, recours à l’imparfait, retour à la tranquillité) Quiétude troublée par un bruit vécu sur le mode de l’agression -> rupture temporelle produite par – le complément circonstanciel de temps « à ce moment » le changement de temps bruit perçu renvoie au monde civilisé « ces sirènes appelent les hommes à se rendre à leur travail » / par rappotrt à l’organisation sociale, M = solitaire, presque arginal adverbe « maintenant » -> présent, « à jamais » au futur avec caractère définitif Deux termes qui donnent + de poids à l’adjectif « indifférent » = face à la mort tout parait égal souve termes qui donnent + de poids à l’adjectif « indifférent » face ? la mort tout parait égal souvenir de sa mère = thème récurant du roman, idée liée ? la mort Fin du roman à mettre en // avec l’incipit et notamment la phrase « Aujourd’hui, maman est morte. » -> Camus présente M comme un très bon fils qui prend sa mère pr modèle ce qui/ à la façon dt l est perçu par la société (L 14 à 17) M s’intérroge avec prudence « il m’a semblé » et tente d’analyser le comportement de sa mère à la fin de sa vie (ex. Verbe « jouer » revoie à l’idée selon laquelle la vie est juste une vaste comédie + désir de chaque être humain à maintenir l’illusion Terme « fiancé » insiste sur le caractère dérisoire de cette vie M établit un // entre la prison et l’asile dans lequel vivait sa mère Procédé d’insistance « là-bas » qui signifie que ailleurs le destin est le même M prête à sa mère sa propre conception du monde + accède à la évélation selon laquelle la condit0 humaine est absurde mais fait de l’accepter, rassumer = gage de liberté M récuse toute forme d’apitoiement, de regret à l’égard de la mort de sa mère « personne » crée un effet lyrique, refus qui vise les autres + lui-même (L-22-23) M établit un nouveau // avec sa mère aux lignes 23-24 mettant en valeur les similitudes de penser et d’attitude // avec sa mère aux lignes 23-24 mettant en valeur les similitudes de penser et d’attitude terme « prêt » renvoie à sa lucidité, sa prise de conscience de condamné Lignes 25 à 28 phrases chargées en émotion deviennent amples, explosion de colère + révolte manifestées face ? l’aumônier lui ont permis de se libérer de se « purger du mal », le voilà désormais libre « vidé d’espoir » + mots « signes » et « étoiles » -> connotation de guide + sens religieux niées ici par M qui refuse une autre vie fin du roman -> répétition renvoie à une forme d’apprentissage « première fois » M acquiert cette révélation début d’un changement pour lui, vient d’atteindre un but début de son bonheur « la tendre indifférence du monde » souligne le caractère immuable de l’univers ignes 29 à 31 M éprouve un sentiment d’indifférence « si pareil « si fraternel » 4 répétition de l’adverbe d’intensité « si » idée d’accord et ressent cette indifférence Temps verbaux importants emploi du P-Q-P montrant que l’action est accomplie >emploi de l’imparfait qui montre qu’il est encore aujourd’hui + acceptation de son sort Expression qui vient en // avec celle du Christ « tout est consommé » aux lignes 31-35 // entre M et le christ qui sont tous les 2 condamnés par une société alors qu’ils sont « innocents » PAGF entre M et le christ qui sont tous les 2 condamnés par une société lors qu’ils sont « innocents » Appelé l’Antéchrist par le juge d’instruction, M constate sa solitude et use d’un paradoxe (idée qui heurte) qui va à l’encontre de l’opinion commune pr échapper à sa solitude et espère la haine des spectateurs venus assister à son exécution. > quelque de logique dans ce raisonnement absurde cris de haine » font référence à un couronnement, à une apogée de l’excistence absurde de M qui meurt pour un crime qu’il n’a pas commis Mot « spectateur » réfère à une mise en scène comme si la vie n’était finalement qu’un leurre Conclusion Ce texte aux significations multiples nous permet d’accéder ? la réflexion finale d’un homme absurde face à la mort. Après la grande colère qui s’est emparée de lui devant l’aumônier, M reconquiert la paix de runivers avec laquelle il s’est senti si fraternel. Il assume ici l’absurde en toute lucidité et cette révélation lui permet de se rendre pleinement disponible à la mort et par la même d’accéder au bonheur. pour couronner son itinéraire d’homme absurde, il lance un ultime défit à la société pour en mieux faire ressentir le mépris. (référence au mythe de Sisyphe)
