analyse de situation

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Analyse de situation Lieu : Cette situation s’est produite dans la chambre du patient en service de cardiologie dans un hôpital Parisien. Mise en situation : Monsieur P. âgé de 77 ans, est entré dans le service de cardiologie pour une pre-opération d’un remplacement d’une valve mitrale. Cest un patient indépendant, qui dit ouvertement ce qu’il pense, il n’est pas très souriant, n’aime pas les hôpitaux et est très pressé de rentrer chez lui. Il occupe une chambre double. A son arrivé, Monsieur P est directement entré dans le service e cardiologie sans même passer par l’admission, afin de remplir le dossier d’entrée.

C’est alors moi qui me suis présentée à sa Swp to page place. En revenant, a gentiment remercié A l’arrivé de Monsieu réservé pour Monsie qui occupé actuellem ors Sion, Monsieur P. m’a la Journée. – la ambre qui était Sni* to View nev:ggge rête car le patient as encore sortie. Monsieur P a alors dû patienter dans le couloir en attendant que la chambre se libère puis que la désinfection se fasse avant son installation dans la chambre. Dans la journée, lorsque Monsieur P. vait une questio question à poser, c’était toujours à moi qu’il s’adressait et je

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lui répondais dès que je pouvais.

Je pensais alors avoir instaurée une relation de confiance avec ce patient, mals ce n’était pas le cas. Le lendemain matin, en arrivant dans le service, après avoir planifiée ma journée, imprimée les prescriptions médicales et préparée le chariot de soin, j’ai commencée mes soins avec l’infirmière. Une fois arrivée dans la chambre de Monsieur P, après avoir mis la présence et procédée à une friction hydro alcoolique, je lu emande s’il a bien dormi et s’il a des douleurs Et la réponse du patient est oui.

Je lui explique que ce matin, je vais lui prendre ses constante, lul donner ses medicaments, qu’un ECG ainsi qu’un bilan sanguin vont lui être fait, puis qu’il sera dirigé à 10h45, accompagné du brancardier vers le service de radiographie afin de réaliser une échocardiographie. Je commence alors par prendre ses constantes, je réalise ensuite l’ECG, je lui administre ses médicaments que je met dans le pilulier en expliquant lors indication, puis mon matériel étant déj? rêt pour effectuer le bilan sanguin, je m’installe près du patient, je demande son identité ainsi que sa date de naissance.

Et là Monsieur P. change complètement de réaction, en disant qu’il ne veut pas q naissance. qu’il ne veut pas que ça soit moi qui lui fasse le bilan sanguin car je ne suis qu’une étudiante en deuxième année et qu’il ne veut pas servir de cobaye… L’infirmière intervient en lui disant que ce n’est pas mon premier bilan sanguin et que j’en ai déjà fait beaucoup d’autre auparavant, mais il continue d’insister. Je finis lors par me lever en lui disant que ce n’est pas grave, que je respecte son choix et que je vais laisser ma place à l’infirmière qui va lui faire son bilan et il accepta.

Une fois son bilan réalisé, nous sommes sorti de la chambre et l’infirmière essayait de me rassurée en me disant que ce n’était pas grave et que ce genre de sltuation arrive souvent.. Selon l’UE 4. 2 et d’après les conventions sociales reconnues, on n’utilise pas le même discours face à un professionnel, un collègue, un ami ou autre. J’ai étais très surprise de la réaction de Monsieur P. , car je ensais avoir crée une relation de confiance avec lui car depuis son arrivé je me suis occupée de lui, j’ai faits son admission qu’il avait oublié de faire, il venait me poser des questions… ais je me suis trompée car ce n’était pas le cas puisqu’il n’avait aucune confiance en moi pour que je lui fasse son bilan san cas puisqu’il n’avait aucune confiance en moi pour que je lui fasse son bilan sanguin. J’était très déçu au fond de moi, même si je ne le montrais pas et j’avais l’impression qu’il me jugeait, me sous- estimé mais je suispassée à autre chose en allant m’occuper des utres patients. Comme nous avons pu le voi dans lil_JE 42, l’état psychique du patient qui est ici anxieux peut entraîner des difficultés d’expressions et de neutralités.

D’après l’article R4312-8 du code de santé publique : « L’infirmier ou l’infirmière doit respecter le droit du patient de s’adresser au professionnel de santé de son choix. » D’après la charte du patient hospitalisé « un acte médical ne peut être pratiqué qu’avec le consentement libre et éclairé du patient. Celui-ci a le droit de refuser tout traitement.  » Le devoir d’informer le patient est une obligation légale et déontologique. Monsieur P, était un patient que j’aurais voulu prendre en charge mais après son refus ce n’était plus possible, j’ai donc pris un autre patient en charge.

Observations, étonnements, difficultés : Je n’ai pas eu de difficulté particulière, je pense avoir bien réagi malgré ma déception. Cependant en sortant de la chambre, je me suis demandée pourquoi Monsieur p. avait réagi comme ceci ? Avait t-il peur des prises de sang ? PAGF suis demandée pourquoi Monsieur P. avait réagi comme ceci ? Avait t-il peur des prises de sang ? Avait-il peur que j’échoue la prise de sang ? Voulez t-il tout simplement que se soit un professionnel diplômé qui le lui fasse ? Avait-il passé une mauvaise nuit ? Dans l’après-midi j’ai croisée Monsieur p. ans le couloir, j’en ai donc profitée pour parler avec lui de ce qui s’était passé ce matin pour avoir une réponse à mes questions. Nous sommes donc allés dans sa chambre s’installer tranquillement pour pouvoir discuter dans le calme. Je me suis assise face à lui, je lui ai montrée que j’étais à son écoute et disponible puis je lui ai emandé pourquoi avait-il réagit ainsi et il m’a répondit que ce n’était pas du tout contre moi, qu’il avalt passé une mauvaise nuit et qu’en plus de cela il n’aime pas les prises de sang et avait peur que je le rate et qui soit piquer à deux reprises.

Pendant cetentretien, j’ai essayée de mettre en œuvre les règles qui permettent une écoute de qualité que j’avais vue en IJE 4,2. Finalement, j’ai compris sa réaction, je n’étais plus du tout déçu, je ne me sentais plus sous-estimé et j’ai gardée une bonne relation soignant/soigné avec ce patient.