Analyse de pratique : Durant mon stage en salle de réveil, j’ai pu réaliser une titration de la morphine, dans le cadre de la prise en charge de la douleur. Nous sommes le Jeudl 20 Mars, il est 11 H20, l’intervention se termine, le transfert de la salle d’opération vers la salle de réveil s’effectue. Mr. C, 20 ans vient d’être opéré pour une avulsion dentaire, car l’éruption des 4 dents de sagesses provoquait un mauvais alignement dentaire. Mr C. ‘a aucun antécédent médical, n’a pas de pathologies connues, et aucunes allergies. Le patient, une fois l’i d’opération, et transf nterventionnelle). L patient avec une cou scope (pour avoir un or 4 S »ge to extubé en salle eillance Post- e présente le t ce temps je le ème cardiaque et respiratoire afin de poss der une base lors de la surveillance), je mets le tensiomètre et le saturomètre et je commence donc une surveillance toutes les 15 minutes.
Je note la tension, la saturation, le pouls, je vérifie les saignements, et mets de la glace au niveau des joues pour antic Swipe to View next page anticiper la douleur et les œdèmes induits par l’intervention. J’évalue ensuite la douleur du patient en
Le patient déplace le curseur jusqu’au niveau de la douleur supposée qui correspond le mieux à son état. Et le coté évaluateur avec une ligne graduée de O à 10, il suffit de noter le chiffre sur lequel le curseur est arrêté. – Ou EN (échelle numérique) : elle permet de proposer au patient opéré d’attribuer à l’intensité de sa douleur avec un chiffre ompris entre 0 et 10, O étant l’absence de douleur, 10 étant la douleur maximale imaginable.
L’importance des calculs de doses, pour avoir la bonne concentration pour respecter la prescription médicale du médecin anesthésiste. Jai donc appris ce nouvel acte technique que l’on ne réalise pas en service, seulement en salle de réveil, pour palier ? une douleur. Cela m’a permis d’approfondir mes connaissances en pharmacologie sur les antalglques vus dans l’UE 2. 11 Pharmacologie. Découvrir une nouvelle façon de pre PAG » OF d sur les antalgiques vus dans l’UE 2. 11 Pharmacologie. Découvrir une nouvelle façon de prendre en charge la douleur.
Je me sens autonome pour réaliser cet acte car je l’ai effectué plusieurs fois durant le stage. Je prends une seringue de 10 ml et une ampoule de 10 mg de morphine (10mg=1 ml). J’ajoute en suite 9 ml de sérum physiologique (Nacl pour avoir une concentration de lmg=l ml). Je réalise ensuite ma titration à l’aide de ma seringue et de compresses stériles imbibées de Bétadine alcoolique. Je tiens compte de la prescription médicale qui mentionne de commencer par un bolus de 3ml, puis des bolus de 2ml.
Après ma première njection je note sur ma fiche de surveillance, et ça pour toutes injections que je vais réaliser par la suite : l’heure à laquelle j’ai réalisé cette injection, la fréquence respiratoire, le score de sédation (SI éveillé SA somnolent et difficile à réveiller), le score de la douleur (EVA-EN) la dose injectée, dose cumulative (dose que l’on injecte en totalité) et en cas d’apparitions d’effets secondaires qui sont la dépression respiratoire et somnolence profonde, je dois avertir le médecin pour la conduite à tenir (prescription de Naloxone qui est l’antagoniste de la morphine et asque à haut conduite à tenir (prescription de Naloxone qui est l’antagoniste de la morphine et masque à haute concentration d’oxygène avec un débit de 151/min). j’utilise IEN car son utilisation est plus simple et rapide. Je demande donc à mon patient : Avez-vous des douleurs il me répond oui, j’ai mal à la bouche je lui demande alors où il situe cette douleur sur une échelle de O à étant une douleur inexistante et 10 une douleur insupportable et il me répond 6.
Une fois cette évaluation de la douleur faite, je regarde le dossier d’anesthésie vec la prescription d’antalgique et je vois que Mr C. je continue jusqu’à l’obtention d’un score à l’EVA ou EN inférieur à 4. Dans cette situation la deuxième injection a suffi pour que la douleur soit soulagée. Je peux aller jusqu’à 20mg de morphine IV, le risque majeur est la dépression respiratoire, l’accoutumance, ou le surdosage. Mon patient doit rester en SSPI au moins une heure après la dernière injection de morphine, car la surveillance est très importante, et les infirmières en service n’ont pas le temps de rester dans la chambre du patient pour effectuer cette surveillance.