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Activité : CHRONOMÉTRAGE ET MESURE D4UNE DURÉE Objectifs: Extraire des informations [2] J K L porter un regard critique sur un protocole de mesure d’une durée [26] l- Des outils pour mesurer le temps Questions : 1 . Classer chronologi em or4 effectuant éventuelle ent recherches sur intern ts de mesure, en 2. Lequel de ces dispositifs utilise un ph nomène périodique naturel directement utilisable ? 3. Quels sont ceux qui, parmi eux, ne peuvent mesurer que des durées ? 4. a.

Parmi les unités proposées, quelle est celle utilisée dans le Système International ? b. Convertir les unltés restantes dans cette unité. . a. Associer à chaque instrument l’unité de temps qu’il est capable de mesurer. b. Quel est l’instrument qui présente la plus grande précision ? Il – Vers un chronométrage de plus en plus précis : la photo- finish : Le chronométrage officiel des grandes épreuves sportives dispose d’une technique qui n’a précise au 1/5e de seconde.

En 1896, à Athènes, lors des premiers Jeux olympiques, le 100 mètres est remporté par Thomas Burke en 12,05. un cinquième de seconde le sépare du second. La précision du chronométrage au 1 /5e de seconde devient insuffisante. Le chronométrage anuel au 1

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/ 10e de seconde est utilisé à partir de 1912. Le dixième, puis le centième de seconde L’œil humain ne peut distinguer séparément deux événements que s’ils sont séparés d’au moins 1/10e de seconde. C’est donc la meilleure précision que l’on peut obtenir avec un chronométrage manuel.

Les premiers enregistrements électriques précis au 1/100e de seconde datent de 1902. Couplés ? des caméras, ils sont utilisés aux Jeux de Los Angeles en 1932. Cependant, les performances restent affichées au 1/1 Oe de seconde, la précision de l’enregistreur au 1/100e ne sert qu’? épartager les coureurs qui arrivent dans le même 1/10e. Ainsi, aux Jeux de Berlin, en 1936, le temps de Jesse Owens au 100 mètres est mesuré au 1/10e de seconde. pour le 100 m, l’affichage au 1 /100e de seconde apparaît en 1952 lors des Jeux d’Helsinki.

Les trois athlètes qui montent sur le podium ne sont alors séparés que de 4/100e de seconde. L’indispensable précision En natation, le chronométrage manuel a été utilisé plus longtemps. Lors du 100 m nage libre des Jeux de Rome, en 1960, le chronométrage manuel montre ses PAG » OF d limites : les juges ne sont pas d’accord sur le temps et le nom du vainqueur. En 1967, la mise en place des plaquettes de touche à l’arrivée, couplées à une vidéo et au chronométrage au 1 / 1 000e de seconde permet d’améliorer grandement la précision.

Ce dispositif est utilisé pour départager l’Américain McKee et le Suédois Larsson aux 400 m 4 nages des Jeux de Munich en 1972. Deux millièmes de seconde les séparent à l’arrivée. La photofinish Le système de la photofinish deviendra officiel en 1968. Depuis 1973, on sait mesurer des records sportifs au 1 / 10 000e de seconde. En 2000, à Sydney, les caméras étaient capables de fournir en moins de quinze secondes la hotofinish du vainqueur, son temps personnel, la vitesse du vent et même son temps de réaction au starter.

Technique de la photofinish La caméra utilisée est placée sur la ligne d’arrivée ; elle est reliée ? une interface qui permet de chronométrer. Elle prend une série de photographies à l’arrivée, jusqu’à 1000 images par seconde. De chaque photographie, on ne garde que la «bande centrale» (sur une largeur d’un pixel) qui correspond à la ligne d’arrivée. La photo-finish est formée par un ordinateur qui met bout à bout chaque «bande centrale Elle n’est donc en aucun cas un instantané de l’arr