ADM3028 Les enjeux éthiques, légaux et sociétaux des TI Feuille d’identité Travail noté 1 Consignes : 1 . Remplissez soigneusement cette feuille d’identité. 2. Rédigez votre trav 3. Sauvegardez votre 4. Utilisez le dépôt d votre personne tutric Nom SAINTIL ante. or 12 er votre travail ? PRÉNOM MARIE-ODILE numÉro d’êtudiant 13206426 TRIMESTRE ETE 2014 Adresse 1 0855 BOUL SAINTE-GERTRUDE, MONTREAL-NORD CODE POSTAL HIG5N7 TÉLÉPHONE DOMICILE 514 323 5505 TÉLÉPHONE TRAVAIL CELLULAIRE 514 894 5505 NOM DE LA PERSONNE TUTRICE Dragos Vieru Date D’ENVOI 11 août 2014
Réservé à l’usage de la personne tutrice Date DE RÉCEPTION permet également de voir et de comprendre nos responsabilités au sein de la société qui nous entoure, Plusieurs écoles de pensée ont été explorées à travers les siècles, cependant le comportement de Lynn nous permet de comprendre le concept de l’utilitarisme sot l’éthique conséquentialisme. Selon mol, le comportement de celui-ci est défendable. J’ai plutôt opté pour ce principe, pour supporter mon point de vue. Bien entendu, pour mieux comprendre les raisons de ce choix, il faut en comprendre les bases.
Ce principe, amené par Mill, passe par deux principaux éléments, soient le bonheur et le conséquentialisme. Le premier est le bonheur recherché par tout être humain.
En deuxième lieu, lorsque l’on parle de conséquentialisme, on et de Favant les conséquences possibles suite à une décision. Dans le cas de M. Lynn, il évalue sa décision en fonction des conséquences prévisibles, en terme de balance bénéfices/ dommages, qui seront probables du résultat. Si l’on rapporte les propos de l’étude de cas « La découverte de Lynn était fondamentale : Il a donc décidé d’en parler et de faire connaitre le danger aux professionnels de la sécurité en Tl et au public», on constate que M. Lynn a une conscience morale et qu’il sait que son silence ne et au public», on constate que M.
Lynn a une conscience orale et qu’il sait que son silence ne va pas affecter que lui, mais également le plus grand nombOre. Il a jugé par lui-même qu’il devait agir dans l’intérêt de tous, et que ne rien dire allait à l’encontre de ses propres valeurs. Il s’agit effectivement de l’application du principe d’utilité : le plus grand bien pour le plus grand nombre» ou encore agir de telle sorte que le résultat prévisible produira le maximum de «bien» et le minimum de «mal» et évidemment le bien et le mal doivent être évaluer de manière neutre et impartiale. ) Comme cité précédemment, l’approche utilisé est d’avantage onséquentialiste puisqu’elle permet d’évaluer les conséquences que pourraient entrainer le silence de M. Lynn. par contre, malgré le fait que Lynn a le devoir d’informer le danger à la population, en tant que professionnel, son rôle doit être encadrer par des prncipes clairs ainsi que des règles à respecter, d’où vient le principe du code de déontologie. c) On constate ici, que PISS et Cisco agisse en appliquant l’éthique déontologique. On peut évaluer leurs décisions sous Fangle de l’obligation éthique générales qui incombent à chaque individu
Des règles absolues et des obligations sont ici mises en valeurs, peu importe les conséquences tant négatives que positivent que peuvent avoir leurs actions. Pour eux, le comportement de Lynn était injustifiable. En déposant une plainte contre M. Lynn « Cisco a déposé une plainte contre monsieur Lynn et affirmait qu’il violait les droits en matière de propriété intellectuel plainte contre monsieur Lynn et affirmait qu’il violait les droits en matière de propriété intellectuelle», on constate que Cisco agissait de manière déontologique en mettant de l’avant les lois.
Pour ce type de raisonnement, ISS et Cisco utilise le rationnel et le jugement, plutôt que les impulsions. En tentant de faire de monsieur Lynn, Cisco essaie de garder un certain contrôle de la situation, en mettant de l’avant les règles que monsieur Lynn auraient transgressées. d) Il s’agit ici d’une approche plutôt déontologique. Il s’agit de règles qui sont implantées, dans l’entreprise. Les dirigeants considèrent qu’en tant qu’entreprise évoluant dans le secteur des Ti, qu’ils ont des lois à respecter, selon un cade de déontologie.
Ces normes propres tendent à régir le comportement des pécialistes en technologie de l’information, en tant qu’individu et en tant que collectivité. Ces normes sont structurées, afin d’accroitre la cohésion intérieure et de construire dans un but d’évolution vers une meilleure cohésion sociale. On se réfère d’avantage à des obllgations et des interdictions. L’entreprise possède un code de conduite et pour y adhérer il fut pouvoir suivre les règles.
Ce code sert de base pour construire, il s’agit d’une référence de manière à ce que chacun puisse s’inspirer des valeurs qu’ils désirent véhiculer au niveau de ses activités professionnelles. Les codes ont également comme fonction, la régulation des comportements, c’Est-à-dire elle permet la régulation des membres de l’entreprise. Avec cela, s’installera petit à petit, une cohérence culture membres de l’entreprise. Avec cela, s’installera petit à petit, une cohérence culturelle, qui se fera autour des valeurs que l’entreprise tente de prôner, et ainsi favoriser l’intégration sociale et professionnelle de chacun.
Ils ont aussi comme fonction d’être un outil de gestion externe qui permet d’assurer aux autres parties prenantes tels clients, investisseurs, fournisseurs etc. e confirmer les engagements éthiques annoncés. Question 2 a) Il n’y a pas une grande distance entre la loi et l’éthique. Certaines lois interdites peuvent être éthiquement acceptables, dépendamment de la situation. Cependant, la loi elle-même ne prend en considération, le falt de savoir si c’est éthiquement acceptable ou non. Une loi vient confirmer les interdictions liées à des règles éthiques.
Il ya également différentes catégories de loirs, telles que les lois qui établissements les normes pour les entreprises, les activités commerciales ou encore les loirs polltiques. ar contre, plusieurs se demandent si l’on doit absolument obéir à une loi, parce qu’elle se définit telle quelle? Deux différentes réponses peuvent supu’enir. Certains pensent qu’en étant un citoyen, ou un individu vivant nous sommes dans l’obligation de les suivre, tandis que d’autres diront qu’il faut évaluer le caractère éthique de la chose.
On peut référer la loi au droit, qui est une norme qui vient régir le comportement des hommes en société. Il y a deux types de droit. Il y a tout d’abord, qui est la règle dictée par l’autorité en place, et il y a ce qu’on omme le droit naturel, qui est directement inscrit s OF par l’autorité en place, et il y a ce qu’on nomme le droit naturel, qui est directement inscrit dans la nature de l’homme b) Lorsque fon parle de faire ce qui est juste ou injuste, on se réfère plutôt à nos jugements moraux.
Il s’agit d’être capable pour l’être humain de comprendre rationnellement, ce qui est moral bien ou mal, juste ou injuste. II s’agit pour une personne ayant toutes ses facultés, libre de son processus décisionnel, de juger objectivement et de décider quelle direction prendre. Falre e qui est juste, relate d’avantage de la morale, des valeurs, du côté éthique de la décision à prendre. On ne parle pas ici d’obéir à une règle, mais plutôt de prendre la meilleure décision dans les circonstances. Il s’agit de faire une réflexion en vue d’agir de la bonne manière.
Elle demande de s’interroger sur les valeurs morales et les principes moraux, qui devraient guider et diriger nos actions, dans le but précis d’agir conformément à ceux-ci. Être juste ce n’est pas seulement se conformer aux lois, mais c’est également être capable de se conformer à ce qu’on appelle ‘esprit de justice. On peut effectivement vor un lien avec le débat qui oppose les approche conséquentielle et déontologique. Faire ce qui est juste ou injuste, serait d’avantage relié au conséquentialisme, puisque fait référence aux responsabilités d’un individu et sur les conséquences que pourraient avoir ses agissements.
Elle porte d’avantage sur le positif et sur le négatif. Elle permet de mettre en place des manières rigoureuses d’analyse qui mettent de l’avant les faiblesses de la logiq 6 OF mettre en place des manières rigoureuses d’analyse qui mettent e l’avant les faiblesses de la logique et les contradictions. Elle traite aussi de ce qu’il faut faire et ce qu’il ne faut pas faire, mais plus précisément de tout ce qui attrait au raisonnement, afin de pouvoir confronter un problème moral. L’éthique n’impose pas de lois autoritaires.
On optera plutôt pour la recherche des valeurs en conflits et le déterminateur des alternatives possibles, afin de trouver comment orienter le jugement. Faire du tord ou évlter de nure réfère d’avantages aux 1015, aux règlements. Il s’agit plutôt d’obéir au lieu de porter un jugement et de prendre une décision. Il s’agit d’une interdiction. On ne parle pas de morale ici, mais plutôt de ce que l’on peut et ne pas faire. Ce n’est pas de savoir si la société, trouve cela accepte ou non, c’est plutôt d’appliquer une 101. On pourrait d’avantage penser ? l’approche déontologique.
On ne pense pas ici à la vérité, mais plutôt à l’autorité. Lorsque l’on parle de code de déontologie, on cherche à expliquer les devoirs de tous et de chacun, comment les appliquer au quotidien. Ily a souvent une certaine confusion entre ce qui est légal et éthique. On peut plutôt ici faire reférence au droit, aux lois. Le droit quant à lui permet la réglementation des comportements essentiels d’une vie sociale et d’une vie en communauté. Il ne s’agit pas de se concentrer uniquement sur les actes qui concerneraient les individus.
Il permet de déterminer les règles de conduites. La fin VISée par le drolt et par l’implantation de règles, sont la sécur les règles de conduites. La fin visée par le droit et par l’implantation de règles, sont la sécurité et la justice. Le droit et la déontologie ont en commun la caractéristique d’être des modes de gestions des comportements consistant à imposer ne ligne de conduite aux individus et qul passe principalement par l’obéissance à des règles ainsi que par la loyauté envers leur source.
L’approche déontologique, par sa fonction de créer diverses règles internes, propre à chaque profession ou encore corps de métier selon différentes modalités, nous démontre qu’effectivement faire du tort ou éviter de nuire peuvent être reliées, par une recherche d’autorité et d’application d’une règle. Par conséquent, nous pouvons effectivement dire qu’il y existe une relation entre l’approche conséquentielle et déontologique insi qu’avec le fait de faire ce qui est juste et injuste et faire du tort ou éviter de nuire. ) Bien évidemment, dans le cas-ci présent, il y a deux différents types de pirates, soient les Black Hats, qui sont là comme des conseillers pour les firmes, qui ont les connaissances ainsi que les compétences pour s’assurer de la bienveillance des systèmes informatiques implantés par les entreprises. Ce type de pirates informatiques et ce type de démarche serait éthiquement acceptable, puisqu’il s’agit d’assurer le bien collectif. On parle ici d’une approche plutôt déontologique, puisque les personnes qui travaillent sont souvent des personnes œuvrant dans les Tl, donc qui un code de déontologie à respecter.
Les White Hats quant à eux. sont présents afin de trouver un code de déontologie à respecter. Les White Hats quant à eux, sont présents afin de trouver les failles des systèmes informatiques, afin de faire du mal et d’agir de maniere malhonnête. Bien entendu, je trouverai cette approche éthiquement interdltes, pulsqu’elle peut également contrevenir à différentes lois, telles que la loi sur la vie privée, puisque très souvent les victimes collatérales sont les usages, onc les individus à l’extérieur de l’organisation.
Il y a aurait des conséquences néfastes pour tout le monde. Question 3 3. a) Les professionnels des Tl ont des responsabilités et des devoirs qui viennent avec la profession. Le professionnel se doit être honnête, puisque ces actions peuvent avoir des répercussions sur bon nombre de personnes. M. Lynn étant lui- même un professionnel, sait pertinemment que dans le cas où il y aurait un problème auquel il devait faire face, se devait de mettre au courant toutes failles qui pouvaient survenlr.
Il a le devoir de énoncer tout irrégularité dans les systèmes informatiques Il se devait d’agir de manière éthique et responsable et s’assurer d’agir dans l’intérêt du plus grand nombre. Il se devait d’agir de bonne foi et avec précaution. Malgré que cela pouvait aller à Pencontre de la volonté de rentreprise, il a boulu agir de manière éthique en prenant le soin d’exposer la défaillance au grand public. b) Comme cité dans la revue de Jacqueline Dionne-Proulx et de Marc Jean, professionnalisme et gouvernance des technologies de l’information, revue internationale sur le travail et la société, « Le contrat sociale