Dissertation Énoncé : Si chacun reconnait le rôle libérateur de la vraie connaissance, les avis divergent sur la capacité de l’école à assumer ce rôle. Certains estiment que l’école est un lieu de culture où la démocratie trouve ses fondations et où chaque élève peut trouver son épanouissement intellectuel. D’autre, au contraire, reproche à l’école d’asservir les élèves qui lui sont confiés, de les conditionner voir de les dégoûter de la vraie connaissance. Quelle est votre position personnelle dans le débat ? r 5 Dissertation : L’émancipation de l’ uca sera un débat à jama ?mancipatrice, d’autr l’école était, est et ains trouvent l’école Si aujourd’hui, ce n’est plus une problématique au centre des attentions, elle a fait couler beaucoup d’encre durant les trois siècles précédents : un grand nombre d’auteurs se sont penchés sur ce sujet. Qu’est-ce que j’en pense ? L’école est-elle pour moi émancipatrice ou une prison ? Avant d’exprimer mon avis, je vais développer les différentes opinions de ces auteurs précédemment cités.
Avant de se lancer dans l’école émancipatrice pour tous, il ne faut pas oublier que pendant longtemps l’école pour les filles était eaucoup moins émancipatrice que celle des garçons qui ne l’était déjà pas beaucoup. Fénelon
Bien sûr, Fénelon ne pense pas ainsi, il est plus pour une éducation pour les tâches que les femmes doivent accomplir : il veut dire par là gérer le oyer et l’éducation de leurs enfants. De nos jours, cette avancée nous parait peu mais à son époque Fénelon est à l’avance sur son temps. Contrairement à Fénelon, Condorcet pensait l’école émancipatrice et comme il l’explique dans son Essai sur la constitution et les fonctions des assemblées provinciales, l’éducation sert à faire des citoyens responsables, votant et protégeant la démocratie.
Il est vrai qu’une personne mal instruite ne possède pas le sens du bon ou du mauvais. C’est une chose que l’on constatait cent cinquante ans après cet essai avec la eunesse hitlérienne à qui on apprenait que les handicapés et les Juifs, entre autres, étaient des fardeaux pour le monde. Comment ces jeunes gens ne pouvaient-ils pas faire la différence entre bien et mal gangrenés par une telle instruction ? Condorcet défendait aussi le fait qu’il y avait existence d’un peuple maltre Instruit et d’un peuple esclave sans éducation au sein d’une même population.
Il voyait donc en l’école une émancipation du citoye éducation au sein d’une même population. Il voyait donc en l’école une émancipation du citoyen et une égalité entre les Hommes. our continuer dans la défense de l’école, je cite Ledda qui ne faisait pas l’éloge de l’éducation dans Padre Padrone Il, le langage de la faux et d’ailleurs en présentait aussi le fait que récole est émancipatrice que pour ceux qui ont envie d’apprendre et qu’une personne ne se sentait pas émancipée si elle était obligée de faire les mêmes études que ses parents comme cela se faisait beaucoup au XXe siècle.
Ledda ajoutait et il avait raison que la société a plutôt tendance à valoriser l’argent à Pinstar du côté intellectuel des études. La valorisation de l’argent est un point que Finkielkraut traitait ussi lorsqu’il disait que l’éducation était en crise. Nous vivons dans une société commerciale que l’école met en avant en influençant les élèves, en leur apprenant des choses qui n’ont plus de rapport au passé et en leur inculquant aussi l’individualisme.
C’est le modèle américain que l’on donne de plus en plus aux adolescents qui vont le reproduire et créer une société où le « chacun pour soi » domine. Rousseau, quant à lui, pensait que les enfants en général étaient curieux et avait un esprlt assez ouvert que pour apprendre d’eux-mêmes une fois qu’il a reçu le bon aisonnement. Ce qui offre une certaine liberté aux enfants qui se sentiraient beaucoup plus émancipés par l’éducation. Pour que cela se passe pour le enfants qui se sentiraient beaucoup plus émancipés par l’éducation.
Pour que cela se passe pour le mieux, Rousseau proposait que tous, que ce soit les parents ou les enseignants, se mettent sur un piédestal par rapport aux élèves pour inculquer un sentiment d’égalité entre tout Homme. pour contredire Rousseau, Voltaire disait que l’égalité n’existait pas et qu’il y avait deux mondes dans la société : les bourgeois et les pauvres. Pour lui, les seconds ne devaient pas avoir accès ? l’éducation pour éviter que les bourgeois ne se rabaissent à leur niveau et ne leur adressent la parole.
Donc l’éducation n’était pas émancipatrice pour les pauvres, car il ny avait pas accès mais, et ce n’est que mon avis, ne l’était pas plus pour les riches, car ceux- ci n’ouvraient pas leur esprit à une société plus égalitaire pour tous. Onfray était pour l’éducation émancipatrice parce que tout ce qui comptait n’était que le savoir. Ce savoir qui éloignait l’Homme de la nature et de ce qui faisait de lui un animal. L’instruction sert ? construire notre société et à vivre en communauté dans celle-ci.
Et il est vrai que sans éducation, l’instinct animal prend le dessus. Pour finir, Vaneigen pensait que l’école comme renvironnement familial étaient des usines à consommateurs et servaient à faire des élèves qui deviendront rentables pour la société. Il croyait au « bourrage de crâne » qui est loin d’être émancipateur. Les fervents défenseurs de ce système disaien PAGF crâne » qui est loin d’être émancipateur. Les fervents défenseurs de ce système disaient qu’on devait Fimposer pour préparer les élèves à vivre dans cette société.
En conclusion, on peut dire que l’école émancipatrice a créée et créent toujours des avis différents et c’est remarquable lorsque l’on passe des auteurs tels que Condorcet, Onfray et Rousseau qui pense l’école émancipatrice et que la société en a besoin ? ceux comme Voltaire qui pensait que l’école devrait être émancipatrice que pour une petite catégorie de personnes et en parlant bien sûr de ceux qui pensaient l’école pas émancipatrice comme Vaneigen, Finkielkraut et Fénelon.
Pour ma part, je possède un avis mitigé tout comme Ledda qui dit que l’école est émancpatrice ou pas selon les points de vue et ce que l’on a nvie de faire.
Je pense que depuis que la diversité des études a explosée et je pense par là à la possibilité grandissante des élèves à choisir leur type d’étude, l’émancipation scolaire est grandissante, mais pour cela, le choix de l’étude est très important : l’élève qui ne choisit pas les études qui lui plaisent se sentira beaucoup plus emprisonné qu’un élève qui a choisi ce qu’il rêve de faire tout au long de sa vie. Maintenant, cette diversité d’études est très intéressante, mais est-ce que celle-ci n’embrouillerait pas les jeunes dans leurs choix sur leur avenir ?