1 Les Liaisons Dangereuses Lettre Premi Re

1 Les Liaisons Dangereuses Lettre Premi Re

Les liaisons dangereuses, Choderlos de Laclos Lettre première 1782 Roman Épistolaire (récit composé d’une succession de lettres) Effet de réalisme Différents points de vue Libertinage Figure du libertinage : Marquise de Merteuil Vicomte de Valmont Sni* to View Incipit Entrée in médias res Annonce la forme épi La présence d’un pe qui sort du couvent) IIIe de bonne famille Effet de réel de part la forme épistolaire Absence de noms (Exemple : M.

C***) post scriptum Introduction: Cécile de Volanges, âgée de 15 ans débute le roman par une lettre destiné à sa correspondante. Cécile a été élevée dans n couvent. A l’époque, on pensait que mettre les jeunes filles dans un couvent, leurs empêcheraient de sublr les mœurs de la société. La lettre divisée en 2 parties : Sa vie et son entrevue avec le cordonnier. rencontrer l’homme qu’elle croit être son futur mari. Vêtement changés tout le temps selon les déplacements dans la journée.

Elle prendra 1h pour se préparer et rejoindre sa mère. « Il n’est pas encore cinq heures, et je ne dois aller retrouver maman qu’à sept » Elle se livre à des activité artistiques : « j’ai ma harpe » Musique / « Mon dessin » Art

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Plastique/ « des ivres comme au couvent » Livre religieux A part quelques activités, elle s’ennuie, elle ne fait rien et écrit ? Sophie pour passé le temps : « Qu’il ne tiendrait qu’à moi d’être toujours sans rien faire » « J’aime autant m’occuper. ? Il – Les visites de Cécile Qui voit-elle ? En dehors des domestiques ; cordonnier et autres, elle voit sa mère. Elle a des relations codifiées et non spontanées. Des heures sont planifiées. Elle ne la voit que très peu et ne la vois pas quand elle le déslre. « Maman m’a dit que je la verrais tous les jours à son lever » ? Parce que nous serions toujours seules » Sans invité « Qu’alors elle me dirait chaque jour l’heure où je devrais l’aller joindre raprès-midi. ? « Je ne dois aller retrouver maman qu’à sept « Maman me fait dire de passer chez elle » A ses appartements Entre la mère et la fille,il n’y a pas d’intimité,d’échange, de liens. Elle ne lui as même pas parler de son mariage ni même de son mari. PAG » OF d pas à me marier » Elle en déduit qu’on va la marier « c’est un radotage de plus de la bonne Joséphine » (Elle s’appuie sur les paroles de Joséphine,la femme qui s’occupait de son ?ducation quand elle était encore au couvent. Elle est si ignorante qu’elle s’imagine beaucoup de chose et ne connaît pas le nom de son mari (Ex : Prendre le cordonnier pour son mari) Il n’y a pas de tendresse. Dans cette lettre, aucun geste, aucune parole de tendresse entre la mère et la fille. Ill- La personnalité de Cécile Cest une fille ignorante de : Son sort (Ne sait rien de son avenir, de son mariage et époux) Intellectuellement (On ne leur apprenait rien au couvent, ignorante de la vie). Les livres du couvent ne leur apprenait rien sur la vie réelle.

Usages de la société (Si elle avait prêté attention au titre du cordonnier, de sa classe sociale, son allure… Elle ne l’aurait pas confondu avec son futur époux). Antithèse : « Conviens que nous vollà bien savantes » montre son ignorance. Elle est pleine d’illusions, naiVe Illusion de liberté par exemple : « Maman m’a consultée sur tout » Elle se croit adulte : « Elle me traite beaucoup moins en pensionnaire que par le passé » « J’ai » « Je dispose » Illusion de tout avoir, de tout faire : « J’ai une » « Je veux » « Dont on m’a remis la clef » Hâte de se marier : « Oh !

Je crois que c’est lui » Elle est restée petite fille : « Maman » « gronder » Elle se montre sincère avec Sophie, elle dit tout ce qu’elle ressent « La main me tremble et le cœur me bât » Elle décrira même la réacti qu’elle ressent Elle décrira même la réaction qu’elle eût avec le cordonnier CONCLUSION Malgré son ignorance et son manque d’éducation, Cécile nous offre une lettre bien écrite. N’oublions pas qu’elle est une proie rêvée pour les libertins car elle est ignorante, naiVe, crédule. Elle a été élevée dans un couvent, ce qui l’a rendu obéissante.

C’est une fille seule, car sa mere ne s’occupe pas d’elle, elle s’ennuie beaucoup. Mme Gross l] Un incipit non conventionnel Forme épistolaire A] Mais on retrouve les éléments attendus du cadre Indications temporelles : 3 Août 17**, à Paris Lhistoire est donc contemporaine à l’auteur (XVIII) B] Milieu aisé / Vie mondaine Femme de chambre Cordonnier Qté d’ouvrières Ses occupations : « ma harpe, mon dessin, et des livres » / « les bonnets et les pompons » qui symbolise la couture Soumission aux codes sociaux de lié aque Emploi du temps réglé